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Cinéma - théâtre

Spectacle - festival

Film espagnol primé au FIF de La Roche-sur-Yon

Du 13 octobre 2011 au 18 octobre 2011

festival international du film - la roche sur yon
du 13 au 18 octobre

Aita (Padre) de Jose Maria de Orbe primé au Festival International du Film - La Roche-sur-Yon

FIF2011.JPG
El largometraje de Jose Maria de Orbe Aita, producido por Luis Miñarro, ha sido galardonado con el Premio de la Prensa y el Premio Especial del Jurado en el prestigioso festival de La Roche Sur-Yon, Francia. El festival se ha celebrado entre el 13 y 18 de octubre, y el veredicto del jurado se dio a conocer ayer.
Entre los componentes del jurado de las dos secciones del festival se encontraban la actriz Ingrid Caven, el realizador Denis Côté y los periodistas Isabelle Danel (Premiere), Jacky Goldberg ( Les Inrockuptibles) y Elisabeth Lequeret ( Radio France).

Estos dos premios se unen a los obtenidos a Mejor Película en México (2011), Mejor Fotografía en San Sebastián (2010), Mención Espacial del Jurado en TaiPei (2011). La película ha sido exhibida asimismo en la Galeria Tate Modern de Londres, y ha sido adquirida por la Cinemateca de los Paises Bajos. Próximamente será exhibida en un circuito museístico de Nueva York.




Aita
de José Maria de Orbe
avec Luis Pescador, Mikel Goenaga
Espagne 2010 1h25 vostf digibéta
Première française

Aita figure sous la catégorie « drame », mais le mot ne convient pas. Le lieu qu'il occupe tient à la fois du documentaire, de la fiction et de l'essai. Il s'agit d'une vieille maison médiévale située dans le village basque d'Astigarraga, du gardien qui prend soin d'elle, du prêtre qui vient s'entretenir avec lui. Il n'y a pas d'histoire, à proprement parler, bien que le père du titre suggère que quelque affaire de filiation cherche ici à se dénouer. Il n'y a que l'attention amoureusement portée au lent, à l'irrésistible travail de la hantise : les ombres ou les moissures sur des murs ; les sons qui tout à coup montent, symphonie, pluie, parole rare ; le jardin autour de la maison qui est aussi, étrangement, un jardin à l'intérieur de la maison. La hantise, on le sait, peut être une définition du cinéma : celui-ci est hanté, c'est l'art des fantômes ; des projections finiront d'ailleurs par ajouter leurs propres motifs, leur herbier à celui que dessinaient déjà les nuages, les feuilles, les taches... La tempête guette, l'orage va éclater, né de la double accumulation du temps et des images dans les murs. La hantise, on le sait également, est une autre manière de désigner le simple fait d'habiter : celui qui habite est un hôte, autrement dit un esprit, un fantôme en puissance. Aita est un splendide poème visuel - extraordinaire travail du chef opérateur Jimmy Gimferrer - qui rappelle ce qu'habiter veut d'abord : être habité, devenir soi-même « en demeure ».
voir bande annonce (youtube)



site du festival : http://www.fif-85.com/
dossier de presse [pdf]



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sinopsis


Aita
Una vieja casa deshabitada. El guarda que la cuida. El cura del pueblo. Los espacios, los sonidos, las luces y las sombras. El paso del tiempo. En los rincones más ocultos de la casa se revela una historia a la vez íntima y colectiva. El cine se revela como un fantasma dentro de la ficción de la película.

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