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une dynamique d'établissement

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Entretien
avec des professeurs de l'académie
Des propos d'enseignants, des supports expérimentés en classe, des idées à approfondir, ...

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  • Trouver un lieu accessible et protégé.
  • Le manque de locaux et donc de place disponible.
  • Le rapport au temps sachant qu’un calendrier d’une année de Terminale est pour le moins contradictoire ( Bacs Blancs , orientation , la diversité des approches selon les disciplines …)
  • Il y en a quelques-uns. Ayant démarré l'expérience seul, la communication, la programmation, la gestion de l'espace, l'accrochage, la diffusion sont entièrement à ma charge. Il me semble que le fait de constituer une équipe permet d'alléger la charge et de diminuer la lassitude ou la fatigue dans la durée. Cependant, cela impose plus d'échanges, de réunions qui alourdissent aussi le travail.
    C'est l'investissement qui demande de l'énergie et le fait de ne pas compter les heures. En dehors de l'estime éventuelle de son administration, il n'y a pas de reconnaissance par l'institution, sûrement pas financière (j'ai cependant pu toucher une HSE par le passé quelques années). Cela doit être un projet d'établissement auquel le principal, gestionnaire, les collègues adhèrent.
  • Il faut sans cesse relancer, cela est pénible. La capacité de mobilisation est très variable, d'une direction à l'autre (5 changements complets de direction (proviseur, adjoint, principal)). Cela finit par épuiser. Le lieu doit être centré, visible dès l'accueil si possible. L'espace doit être très lumineux et pratique pour les accrochages. A ce propos, il est indispensable de bien échanger et travailler avec le gardien, le cuisinier (vernissage), le personnel d'entretien...qui sont sollicités.
  • Avant tout, le problème de l’espace : trouver, aménager un lieu. Ensuite bien sûr celui du budget. Enfin, l’investissement humain et le fameux temps passé et donner de son temps sans compter…


  • Nous n'avons pas de financement spécifique pour équiper la galerie, c'est un réel handicap!
  • Le réseau des galeries des lycées pour des co-productions me semble une très bonne idée.
  • Travailler avec quelques collègues et sa direction.
  • Négocier un budget – s'appuyer éventuellement sur le FSE qui permet une plus grande souplesse dans les dépenses (équipement, frais d'expo ou de partenariat, frais de représentation, transport…)
  • Pouvoir percer les murs (et reboucher ensuite), pour cela les murs de placoplâtre sont quasi indispensables.
  • Constituer un solide dossier susceptible d'accrocher les décideurs...Avoir soi-même une connaissance du milieu artistique , chercher des soutiens financiers (FSE(à l'époque)).
  • Partir d’un projet « porteur et mesuré » et le proposer.
  • La double compétence du professeur médiateur :

- mesurer, envisager, convaincre d’un côté, l’établissement (le lieu de la galerie, les projets, la médiation et les questions de financement).

- de l’autre côté, rencontrer, solliciter, les partenaires, les artistes….


  • Le chef d’établissement et l’intendant.
  • L’inspecteur et le chef d’établissement.
  • L’IPR , le rectorat , l’École des Beaux-Arts de Nantes , le service pédagogique du Musée d'art de Nantes …
  • Le principal (ou proviseur), le gestionnaire, l'agent technique (ou l'équipe mobile). Un budget de fonctionnement est indispensable. Et les collègues aussi !
     
  • La direction de l'établissement, l'intendant, les élus du CA.
  • En mettant à part les professeurs impliqués, sans hésitation les médiateurs culturels et les artistes.




                       

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