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Conférence de M. Oueslati sur le développement durable

mis à jour le 09/09/2008


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Développement durable :
Analyse, enjeux et perspectives (Walid Oueslati,professeur d'économie à l'Institut National d'Horticulture d'Angers)

mots clés : Oueslati, développement, durable, écologie, idh


Présentation :
Cedocument est une synthèse de la journée de formation continue du 31janvier 2006 qui s'est tenue à l'IUFM d'Angers sur le thème dudéveloppement durable. Il comprend le compte-rendu de la conférencedonnée par M. Oueslati et quelques références bibliographiques.
Nousremercions vivement Monsieur Oueslati pour la qualité de sonintervention largement appréciée par l'ensemble des participants etd'avoir mis à notre disposition certains documents de sa réalisation.


Compte-rendu de la conférence de Monsieur Walid Oueslati
(professeur
d'économie à l'Institut National d'Horticulture d'Angers)


Développement durable :

Analyse, enjeux et perspectives


1. Genèse du concept
1.1 Les principales dates à retenir
  • L'histoiredu développement durable (DD) débute avec les années 1940 et les TrenteGlorieuses : reconstruction (plan Marshall) ;nouvel ordre économique etpolitique ; consommation et production de masse, elles ne dépendent qued'une seule énergie : l'énergie fossile.
    Les Trente Glorieuses cachent une certaine misère et un impact environnemental important..
     
  • En1972 : Conférence de Stockholm avec le Rapport Meadows (Club de Rome)qui par des calculs prédit des problèmes en raison de la croissance dela population et du niveau des ressources naturelles disponibles, d'oùle slogan « halte à la croissance ». Emerge le concept d'économie dudéveloppement : la recherche du confort du citoyen où il se trouve,c'est donc une préoccupation écologique qui reste très légère.
    Aumême moment, naissent des associations de protections de la nature, despartis politiques écologiques. De plus, les deux chocs pétroliers vontamener la société civile et les gouvernants à se remettre en causequant à l'utilisation de l'énergie.
    Dans les années1980, avec la crise de l'endettement et l'instabilité financière, on vavoir un retour des thèses libérales. On a alors une nouvelleconsidération de l'ordre économique mondial et la question du DD estreléguée au dernier plan. En même temps, un nouveau rapport appelle àse préoccuper des pollutions globales (celles qui concernent labiosphère comme les gaz à effets de serre), il sera pris au sérieux parles Nations Unies qui vont alors commander un nouveau rapport pourévaluer l'état de la planète : le Rapport Bruntland. En 1987, cerapport intitulé « Notre avenir à tous », est l'acte de naissance duconcept de DD ; il se définit alors comme un mode de développement quirecherche l'harmonie entre les hommes et entre les hommes et la nature.La fracture entre pays du Nord et pays du sud se creuse, laproblématique du DD sera donc indépendante de celle du sousdéveloppement.
     La période 1972 à 1992 est celle d'une prise de conscience.
     
  • En1992 : « Sommet de la Terre » à Rio de Janeiro réunit 190 chefs d'Etat.Ils adoptent à l'unanimité le concept de DD, mise en place de l'Agenda21 comprenant 23 articles dont l'objectif est de chercher des consensussur chacune des questions relatives au DD. Suivront des rounds denégociations à caractère environnemental. Il y a eu une participationmassive des PED à ce sommet, ils seront entendu comme ayant desintérêts divergents avec les PDEM. En parallèle, on assiste à desconférences de la part des sociétés civiles (ONG internationales) quise réunissent et communiquent des propositions à la conférenceofficielle. Depuis, à chaque round, des conférences parallèles ont lieu.

    En 2002 : Sommet de Johannesburg où l'on dresse un bilan :
Points positifs :
- l'environnement entre dans le cadre juridique, il s'institutionnalise ;
- conférence sur la biodiversité en 1993 ;
-rencontre internationale sur le changement climatique à Kyoto en 1997 :accord international sur la réduction des gaz à effets de serre.
 
Points négatifs :
-la non prise en considération de l'aspect social du DD, la fractureentre Nord et Sud augmente, les engagements pris n'ont pas tous étérespectés. Vont alors se mettre en place un ensemble d'indicateurs duDD pour mesurer les efforts faits.

A partir de 1992 : phase politique.
 
1.2 Les évolutions
Plusieurs évolutions sont à signaler :
- des concepts : halte à la croissance et protection de l'environnement (environnement
et développement) jusqu'en 1987, puis DD (société, économique et
environnemental) ;
- des acteurs : scientifiques et ONG jusqu'en 1987 puis gouvernement et nations, entreprises, consommateurs.

 
Cettedécennie a été celle du gaspillage et on ressent aujourd'hui les gaz àeffets de serre des Trente Glorieuses, quel sera le niveau de pollutiondans 50 ans ?
Définition du DD : « développementqui répond aux besoins des générations présentes sans compromettre lacapacité des générations futures à répondre aux leurs. » (rapportBruntland) Ce concept nous incite à revoir notre mode d'organisationsociale, ce n'est donc pas l'idée d'une halte à la croissance mais unnouveau mode de croissance sans gaspillage.



Evolution du mode de croissance

Source : document réalisé par Monsieur Oueslati

2. Conceptions et controverses
2.1 Les champs du DD
Trois piliers : la société, l'économie et l'environnement.

Développement durable 2
Source : document réalisé par Monsieur Oueslati



Deuxtypes de flux, donc les pressions viennent : du rythme d'exploitationde l'environnement et de l'assimilation de la pollution parl'environnement.
  •  Approche intégratrice des 3 piliers :
    DD : essence même d'un projet politique, c'est le rôle des politiques d'infléchir les tendances pour aller vers le DD.
Développement durable 3
Source : document réalisé par Monsieur Oueslati
 
  • Les pratiques du DD
    Développement durable 4
Source : document réalisé par Monsieur Oueslati



Acela s'ajoute un arbitrage entre le court terme (générations présentes)et le long terme (générations futures) et la question se pose à tousles niveaux car la prise en compte des générations futures à un coût.

  • Lesoppositions thématiques : court terme/long terme ; local/global ;simple/complexe (dont interdisciplinarité c'est-à-dire un savoirindépendant et non une conjugaison des savoirs disciplinaires :économie, sociologie, écologie...)
  • Lesdifférents niveaux d'action : monde (ne pas se reposer que sur lesindividus) ; continent ; pays ; région ; communes ; individuel (ne pasà négliger)

Remarque : 50% des trajets routiers sont inférieurs à 3 kms dont 27 % à 1 km.

2.2 Divergences conceptuelles
  • Anthropocentrisme: environnement a une valeur d'usage, pour servir l'homme. Cette idéeest au centre d'une pensée matérielle dominante, défendue par lesreligions notamment occidentales.
  • Biocentrisme : environnement a une valeur d'existence, il existe indépendamment de l'homme, de ses besoins.
Entre ces deux positions philosophiques, il existe un ensemble de positions intermédiaires.

Ladurabilité se situe entre les deux et elle évolue : elle seradifférente pour les générations futures comme de celle qu'elle est depour la génération actuelle.
Le DD n'est pas unerecette mais un positionnement dans notre échelle de valeur, même auniveau individuel (exemple : la Suède taxe 5 fois plus les gaz à effetsde serre que la France).

A l'anthropocentrisme correspond une durabilité faible c'est-à-dire :
-la substituabilité (plus de capital physique contre moins de capitalnaturel, par exemple plus de savoirs faire contre moins de ressourcesnaturelles) ;
- le progrès technique (une technologie alternative sera trouvée).

Au biocentrisme correspond une durabilité forte :
- complémentarité entre capital physique et capital naturel (car phénomène d'irréversibilité : une espèce disparaît à jamais) ;
-capital naturel critique : mise en place de normes, de seuils (supposeune certaine substituabilité mais qui est cadencée par les normes).

  • Critères d'équité intergénérationnel :
-Critère utilitariste escompté (Hotelling 1931) : préférence pour laconsommation présente donc diminution du stock de ressources naturellesjusqu'à épuisement. (dictature du présent)
-Critère MaxMin (Rawls 1971) : idée de garder le maximum de ressourcesnaturelles pour les plus défavorisés cad les générations futures maisles pauvres d'aujourd'hui le restent. (dictature du futur)
- Critère utilitariste non escompté (Ramsey 1928) : même résultat que MaxMin.
-Critère de Chichilnisky (1996) : ne pas épuiser à l'infini : arbitrageentre l'accès aux ressources naturelles des générations présentes etfutures.


3. Enjeux stratégiques
3.1 Le DD : pour qui ?
Négociations entre : pays N/S ; générations futures/présentes ; l'humanité/la nature et les autres êtres vivants.

3.2 Les causes de la dégradation environnementale
Equation de l'impact environnemental (I) : I= P.A.T
avec P : population, A : consommation des ressources naturelles et T : progrès technique.

Pdépend de la pression démographique. Dans les pays du nord, latransition est déjà faite donc le niveau de la population baisse (tauxde fécondité faible, exemple en Allemagne il y a aujourd'hui 80millions d'habitants, il y en aura 50 à la fin du siècle) et latendance est inverse dans les PED (ils n'ont pas passé la transitiondémographique sauf la Chine du fait de la politique de l'enfant uniqueet les pays émergents qui sont en train de la faire). Le niveau demortalité tend à converger entre les PED et les PDEM mais c'est surtoutle taux de natalité qui est différent.

  • Contextedans les PED : Il y a une mauvaise répartition de la population, ellese concentre surtout dans les villes (90% des maliens habitent àBamako), ce qui pose des problèmes de pollution, d'organisation... etla pression démographique est importante, notamment en Afrique et enAmérique latine.
     
  • Dans les PDEM : C'est A qui compte le plus dans l'équation. Les PDEM consomme l'essentiel des ressources naturelles :
- 9 fois plus d'énergies fossiles ;
- 20 fois plus d'aluminium, 16 fois plus de cuivre ;
- 2,5 fois plus de bois que les habitants des PED
- 70% des émissions de CO2
 
 
Pourquoi cette situation ?
- DIT, spécialisation, termes de l'échange ;ce sont les PDEM qui ont
produit les PED, en les exploitant, ils ont créé une division
internationale du travail en leur faveur.
- Faux avantages comparatifs « échange inégal » (Samir Amin)
- Mauvaises définitions des propriétés.


3.3 La solidarité N/S
Aidepublique au développement des PDEM vers les PED : 79 milliards dedollars en 2004 soit 0,25% du PIB (engagement de 0,7%). Selon la BanqueMondiale, il faudrait 50 milliards supplémentaires. De plus, 40% desaides publiques au développement sont détournées (corruptions desEtats) d'où l'idée d'insérer les ONG pour contrôler.

Remarque : Aujourd'hui, il y a un vide juridique sur la question environnementale, pas de gouvernance mondiale, pas de contrôle, pas d'organisme pour gérer.

  • Faut-il des normes communes ?
Aujourd'hui,il y a une grande hétérogénéité des normes sociales. Et comme il y ades écarts de productivité, un alignement par le haut pourraitpénaliser les pays de sud (enjeux très important).
Les FMN jouent avec ces écarts pour leur profit.

Remarque : dans les PDEM : il y a environ 18,5% des enfants de 5 à 14 ans qui travaillent en
2000 (au sens du BIT donc travail salarié seulement).

3.4 Le changement climatique
Selonle GIEC (Groupement international des experts sur le climat), latempérature moyenne aaugmentée de 0,6 °C durant le 20ème siècle.Prévisions d'ici 2050 : augmentation de 1,4°C à 5,8°C selon lesscénarios (en suivant le protocole de Kyoto : augmentation de 2,4°Cenviron).

Causes : les gaz à effets de serre dus à l'activité économique et le phénomène d'inertie.

· Le protocole de Kyoto (1997) :
- entre en vigueur en 02/2005, action contre le changement climatique jusqu'en
2012 ;
- concernent les pays développés, pays d'Europe de l'est et la Russie (dits pays
de « l'annexe B »), il se sont engagés à réduire de 5,2 % le montant global de
leurs émissions entre 1990 et 2012 ;
- engagement le plus important concerne l'UE (-8%) et les USA (-7%) ;
- les PED ont été dispensé d'engagement de réduction jusqu'en 2012, au nom
du principe dit de « responsabilité partagée mais différenciée ».

LesUSA et la Russie ont signé mais n'ont pas ratifié car cela coûterait 3%du PIB américain et qu'ils ne veulent pas ratifier tant que les PED nesont pas concerné, la Russie attend la signature du Brésil et de laChine. Les PECO ne sont pas concernés par le protocole de Kyoto.

  • Le marché international des droits d'émissions :
Deux piliers :
- le pilier du marché, c'est la possibilité d'acheter des droits à polluer à ceux qui
polluent moins. Il est entré en vigueur en 01/2004 ;
- le pilier du développement propre, c'est la valorisation des projets réduisant
les rejets de gaz à effets de serre. (Investissements des pays du nord vers les
pays du sud dans les énergies propres donnent des crédits pour polluer plus.)

Remarque : On ne parle ici que des gaz à effets de serre. La multiplication des projets
nucléaires permettent une réduction de ces gaz et de les délocaliser.


4. Politiques de DD

Economie du bien-être et échec de la gestion mondiale :
- incomplétude des marchés ;
- convexité de préférences et de la technologie.


Inadéquation entre valorisation marchande et valorisation sociale :
Développement durable 5
Source : document réalisé par Monsieur Oueslati


· Détermination de l'optimum économique :
Lepoint d'équilibre, cad le moment où l'entreprise doit arrêter saproduction, est calculé en fonction de l'avantage net qu'elle procure àla société (avantage de l'entreprise - dommages sociaux = avantagenet). Il peut arriver qu'il y ait cessation d'activité si les avantagessont inférieurs aux dommages. C'est l'Eco taxe (Pigou) : peut être unetaxe, un permis ou une norme.

L'idéeest de faire assumer au producteur le coût social de son activité maissa définition est fonction de l'idéologie politique dominante : qu'estce que le dommage ?
Les activités polluent et sielles polluent plus que le seuil de tolérance de la nature, elle vaêtre fragilisée. L'activité en fragilisant la nature va réduire leseuil de tolérance. Donc il faudrait rechercher l'optimum écologiquecad le niveau de production où la pollution est égale au niveaud'assimilation de la pollution par la nature. C'est possible par labaisse de la production ou par la voie technologique.

· La pollution diffuse :
Ily a une impossibilité technique de savoir qui à participer à lapollution. Plusieurs propositions ont été faites pour régler leproblème dont la taxe proportionnelle. Elle se calcule par le rapportentre le niveau d'émission et la norme, s'il est supérieur à la norme,les entreprises sont taxées, s'il est supérieur elles sontsubventionnées. La taxe peut être illimitée et il y a une infinité depollueurs qui ont l'impression que leurs efforts ne sont pasimportants. On retrouve donc le dilemme du prisonnier, la stratégiedominante est de ne pas coopérer car les efforts fait par une ouplusieurs entreprises profitent à toutes les autres également.

5. Dimension empirique

· Commente mesurer le développement économique ?
Leproblème dans la comptabilité actuelle est que certaines activités deréparation des catastrophes (par ex marée noire) sont comptées commeproduction de richesses. Il y a donc une nécessité à créer un nouvelinstrument de mesure du développement éco.

· Le revenu durable
Enpartant de la définition du revenu de Hicks : ce qui peut être consommésans entamer le patrimoine ; Pearce et Atkinson ont créé le « revenudurable ». L'idée est d'ôter la consommation du patrimoine (ressourcesnaturelles) de la production de richesses (PIB). Le problème est que leK nature qui est comptabilisé est uniquement celui qui passe par lemarché.

· IDH
Cet indicateur mesure le degré de satisfaction des besoins des générations présentes.

· L'empreinte écologique
Cetindicateur a été envisagé par WWF. L'empreinte écologique est unemesure de la pression qu'exerce l'homme sur la nature. C'est un outilqui évalue la surface productive nécessaire à une population pourrépondre à sa consommation de ressources et à ses besoins d'absorptionde déchets. A l'échelle du globe, l'empreinte écologique de l'humanitéest une estimation de la superficie terrestre ou marine biologiquementproductive nécessaire pour répondre à l'ensemble
denos besoins. (cf site Internet de WWF). L'empreinte écologique prenddonc en compte les générations futures. L'empreinte écologique des USAserait de 5 planètes, Europe : 3 à 4 planètes et Afrique : moins d'uneplanète.

Il y a deux trajectoires durables :
- faire converger l'empreinte écologique des PDEM vers celle des PED ;
- faire converger l'IDH des PED vers celui des PDEM.

Aujourd'hui, on a les moyens d'agir par l'aide publique au développement et par les
participationsdes populations. Il y a un excédent de biens et services poursatisfaire les besoins des générations présentes mais pas poursatisfaire nos besoins matérialistes. Notre confort d'aujourd'huicoûtera cher aux générations futures.




Compte rendu réalisé par : Emilie Paris - PLC1 IUFM Angers.

Quelques références bibliographiques
Ouvrages et articles
· Rotillon Gilles, Economie des ressources naturelles, Collection Repères, La Découverte, 2005
· Arnaud E., Berger A., de Perthuis C., Le développement durable, Collection repèrespratiques, Nathan
· Gadrey Jean et Jany-Catrice Florence, Les nouveaux indicateurs de richesse, Collection Repères, La découverte, 2005
· Smouts Marie-Claude (sous la direction de ), Le développement : les termes du débat, Armand Colin
· Rapport Antheios 2005, Géopolitique de développement durable, PUF.
· Vivien Franck-Dominique, Le développement soutenable, La découverte, collection repères, n°425, 2005.
· « Le développement durable : le défi du XXIème siècle », Ecoflash, n°176, mars 2003.
· « Enjeux et politiques de l'environnement », Cahiers français, n° 306 - Janvier-février 2002.
· Harribey Jean-Maire, Le développement soutenable, Economica, 1998.
· Parienty Arnaud, « L'IDH est-il une bonne mesure du développement ? », DEES, n°133, octobre 2003
·Jany-Catrice Florence, « Des mesures alternatives au développement »,DEES, n°133, octobre 2003 (supplément en ligne :http://www.cndp.fr/RevueDEES/)
· « Le développement durable », Alternatives économiques, Hors-série, n°63, 1er trimestre 2005

Quelques sites Internet
·Le site SES-ENS propose un compte-rendu très complet des journéesacadémiques (Lyon , avril 2005) consacrées au développement durable età l'économie de l'environnement : http://ses.ens-lsh.fr/
· Le site national « Education à l'environnement pour un développement durable (EEDD) hébergé par le CRDP d'Amiens : http://crdp.ac-amiens.fr/enviro/
· Le site de l'Institut Français de l'Environnement : http://www.ifen.fr/
·Sur Eduscol, le site de la DESCO, un portail EEDD comportant notammentdes liens vers les textes de référence, mais aussi une sélection deressources en ligne :
http://eduscol.education.fr/
·Le site de Géoconfluences : le dossier développement durable quicomporte un glossaire et de nombreux liens utiles, ou encore une"brève" sur la pêche dans le lac Victoria, complément du documentairede H. Saupert, « Le cauchemar de Darwin » : http://www.ens-lsh.fr/geoconfluence/
· Le site du ministère de l'Ecologie et du Développement Durable :
http://www.ecologie.gouv.fr
·Le site du Programme des Nations Unies pour le Développement présenteen ligne le Rapport mondial sur le développement humain 2005 : http://www.undp.org

Quelques adresses plus locales
· L'association ALISEE (loi 1901) propose des animations au sein d établissements
scolaires sur la maîtrise de l'énergie et les énergies renouvelables :
1, bd Gaston Birgé 49100 Angers (02/41/18/01/08)
1 rue Julien Grolleau 44200 Nantes (02/40/89/23/22)
· L'association Graine (Groupe régional d'animation et d'information à la nature et à
l'environnement) dont l'objet est de « faire avancer l'éducation à l'environnement en
Paysde la Loire ». Siège social : Résidence les Courlis, 4, allée AndréCourtois 44700 Orvault (02/40/94/83/51), e-mail :pie49.alisee@wanadoo.fr


Pour la formation continue : marc.pelletier@ac-nantes.fr
 

information(s) pédagogique(s)

niveau : Terminale ES

type pédagogique :

public visé : enseignant

contexte d'usage : non précisé

référence aux programmes : Terminale ES, programme obligatoire.

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