handicap et scolarité

Pour plus de clarté, le sujet des élèves dyslexiques a été aéré. Les exercices ont  été  plus nettement séparés. Pour lever toute ambiguïté, aucune illustration n'est positionnée entre deux exercices. Le document est fourni en couleur. Les questions sont numérotées pour éviter les oublis.
Certes, cela nécessite un nombre de feuilles important mais rappelons que cet effort n'est consenti que pour une minorité (1 ou 2 élèves par classe en moyenne) et qu'il constitue une compensation de leur handicap.

Afin de limiter la lecture, toutes les phrases qui ne sont pas indispensables sont supprimées : ici, les titres et des consignes évidentes comme « coche la bonne réponse ». 

De même, pour soulager l'écriture, des réponses sous forme de QCM sont proposées. Des justifications ont été supprimées. On a aussi supprimé les pointillés qui indiquent le nombre de lettres du mot à écrire (exercice 1) car les difficultés en orthographe risquent de faire douter l'élève dyslexique de sa réponse.

Pour s'assurer de la compréhension des consignes, certaines d'entre elles ont été reformulées car la syntaxe était complexe. Les verbes sont en gras. Des exemples sont fournis (dans le tableau ou la légende de la lampe). Les repères spatiaux ont été supprimés : à droite, à gauche, ci-dessous...

Pour compenser sa lenteur, l'élève dyslexique a moins de mots à placer dans la légende de la lampe et moins de symboles à dessiner dans le tableau.

Enfin, une fiche-méthode est mise à la disposition de l'élève : c'est une fiche  qui lui est familière puisqu'il a l'habitude de l'utiliser pendant les séances d'exercices en classe. Elle se présente sous la forme de procédure à cocher.