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De l’atelier à l’exposition : rencontres avec l’œuvre de Fabrice Hyber

mis à jour le 12/10/2023


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Comment des rencontres répétées avec une œuvre, dans différents lieux, permettent-elles des apprentissages multiples ?

mots clés : Atelier, exposition, EAC, Hyber, pluridisciplinarité, démarche


Document sans nom

Le Parcours d’Éducation Artistique et Culturelle (PEAC) se fonde sur 3 piliers : Fréquenter (Rencontres) ; Pratiquer (Pratiques) ; S'approprier (Connaissances). Si la rencontre est ponctuelle, la fréquentation relève quant à elle de la répétition. D’autres apprentissages, d’autres manières d’apprendre sont possibles dans cette pluralité des rencontres.

Les galeries à vocation pédagogique, en faisant venir les œuvres au contact du public scolaire, rendent possible cette fréquentation que la visite au musée permet difficilement.

Afin de multiplier et diversifier les contacts avec les œuvres et les artistes, nous avons fait le choix, au collège Gaston Chaissac de Pouzauges, de proposer à des élèves volontaires un atelier artistique. Ce dispositif, financé par Le Rectorat de l’académie de Nantes et la DRAC des Pays de la Loire, est animé par 2 enseignants, Lionel Théfany, professeur d’arts plastiques, et Anne-Laure Arrivé, professeure de français, et accompagné chaque année par un artiste. Depuis sa mise en place en 2017, l’atelier artistique a été l’occasion de développer des projets variés avec de nombreux artistes mais également de construire un partenariat privilégié avec le plasticien Fabrice Hyber qui nous a ouvert les portes de son atelier et invité à venir découvrir son univers. Une véritable opportunité pour les élèves de suivre le trajet de l’œuvre, de son lieu de création à son espace d’exposition.




 

Vignette atelierProblématique – questionnements :

Comment l’atelier d’artiste peut-il « faire référence » pour les élèves ?

 

Les galeries d’art en établissement qui se développent sur le territoire académique constituent un formidable outil pour favoriser les rencontres sensibles avec les œuvres. Il est un lieu, complémentaire des lieux d’expositions mais tout aussi fondamental, qui donne accès à un autre aspect de la création artistique : l’atelier d’artiste. Comment ce lieu peut-il faire référence pour les élèves ?

Situations d’atelier

L’enseignement des arts plastiques accorde une place centrale à la pratique. Des dispositifs comme les ateliers artistiques, apparus en 1983, à l’initiative de Gilbert Pélissier alors Inspecteur Général, permettent de renforcer cette place de la pratique, dans un contexte différent du cours usuel, où l’on s’autorise à prendre ses distances avec les programmes mais aussi les contraintes temporelles :
« explorer, s’égarer, se perdre, se retrouver, ne pas aboutir, rebondir, utiliser l’accident… et ne pas toujours savoir ce que l’on a fait, le livrer comme une question pour soi et pour les autres – comme une œuvre d’art – j’ai fait “ça” ! »
Plus récemment, les nouveaux programmes de lycée invitent les enseignants à cultiver les « situations d’atelier ».

Dans l'atelier de Fabrice Hyber

« Un certain désordre règne, tubes et pots de peinture épars, flacons contenant des essences diverses, nombreuses toiles appuyées sur les murs… et flottent les odeurs d’huile de lin et de térébenthine. Mais aussi le temps, l’intemporalité du temps de l’atelier, avec une part de mystère, et une alchimie où matières triviales, ocres et terres, de Sienne, d’ombre… se transmutent en œuvre. »
Gilbert Pélissier



Gilbert PÉLISSIER – Inspecteur Général honoraire d’Arts Plastiques, « Que l’école est belle (ou petit plaidoyer pour un certain flou) », Article publié dans CommunicAction – Courrier de la commission Académique d’Action Culturelle N° 29 – CRDP – Rectorat de Paris – 1992, Numéro spécial Ateliers de pratiques artistiques
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Visites d’ateliers

En proposant un atelier artistique aux élèves du collège Gaston Chaissac, nous souhaitions mettre en place cette dynamique spécifique en travaillant avec des artistes plasticiens.
Pour compléter ce dispositif, visiter des lieux de création en plus de lieux d’exposition nous a semblé une évidence. Après avoir travaillé dans l’atelier de Christine Laquet en 2020, nous avons développé un partenariat avec le plasticien Fabrice Hyber originaire de Luçon en Vendée.
Depuis 3 ans, l’artiste vendéen nous accueille dans sa propriété de Mareuil-sur-Lay-Dissais où il nous ouvre les portes de ses ateliers. C’est ainsi qu’en traversant les divers espaces, les élèves ont la chance de découvrir des œuvres en cours de réalisation, ou en partance pour des expositions à travers le monde. L’artiste, accompagné de ses divers collaborateurs, nous présente son travail, évoquant tour à tour les aspects très techniques – la fabrication du fusain, la dilution de la peinture à l’huile, etc –  comme les spécificités de sa démarche.
Il nous fait découvrir également la forêt qu’il a créée avec son père il y a 20 ans, en semant plus de 300 000 arbres. Une forêt qui constitue sa source d’inspiration principale.

Pénétrer dans un atelier d’artiste est toujours une formidable expérience. C’est entrer dans l’intimité de la création, comprendre au plus près des œuvres comment prennent forme les idées. Mais en découvrant ce lieu incroyable, les élèves n’ont pas seulement découvert des œuvres. Ils ont surtout rencontré une figure emblématique de l’art contemporain. Une rencontre qui « fera référence » pour eux.



Compte rendu d’une de ces visites :
https://chaissac.vendee.e-lyco.fr/atelier-artistique/atelier-artistique-atelier-artistique/les-eleves-de-latelier-artistique-rencontrent-le-plasticien-fabrice-hyber/
 

L'atelier de Fabrice Hyber à Mareuil-sur-Lay Hyber - Explications par le geste

 

Vignette La ValléeProblématique – questionnements :

Dans quelle mesure le paysage peut-il être à l’origine d’une démarche artistique ? Comment faire œuvre avec le paysage ?

 

Le paysage n’est pas uniquement l’aboutissement du travail du peintre. Dans bien des démarches contemporaines, il en est la source. Dès la fin des années 60, les artistes du Land Art font du paysage leur atelier, lieu de leurs expérimentations artistiques. Fabrice Hyber entretient lui aussi des liens multiples et complexes avec sa Vallée, le paysage de son enfance qui est à la fois son motif, une source d’inspiration inépuisable et une sorte d’œuvre d’art totale.

S’approprier son paysage

Depuis 2 ans, le travail de l’atelier artistique que nous menons avec l’artiste plasticienne Marine Class s’appuie lui aussi sur le paysage des élèves. Qu’il s’agisse d’inventer une « archéologie fictive » de Pouzauges (atelier 2022-2023) ou de travailler sur « Pouzauges, la cité labyrinthe » (atelier 2023-2024), la séance inaugurale prend la forme d’un parcours dans la ville. Une première prise de contact durant laquelle les élèves présentent leur lieu de vie à l’artiste. Il s’agit aussi pour eux de découvrir autrement cet espace qu’ils pensent connaître, d’appréhender leur paysage en mobilisant leur corps. Empruntant la démarche scientifique des archéologues, ils collectent des indices de toutes sortes : croquis, photos, enregistrements sonores, frottages, prélèvements d’objets,…

Archéologie de mon paysageCartographie fictive

De retour au collège, trier, classer, nommer, étiqueter, archiver… Cette base de données récoltées devient le déclencheur de récits d’invention dans lesquels les élèves peuvent construire de toute pièce leur propre histoire, fantasmée, de leur territoire de vie, mobilisant les ressorts du récit fantastique où l’imaginaire surgit du réel. Une manière de faire œuvre avec son paysage, pour se l’approprier.
L’expérimentation de la technique du papier marbré, que Marine Class mobilise dans sa pratique, permet de tirer profit de l’aléatoire pour inventer des cartes fictives et de donner un espace, une topographie à ces récits d’invention.


 


Lien vers le blog de l’atelier artistique : https://chaissac.vendee.e-lyco.fr/projets-et-innovations-pedagogiques/atelier-artistique/

La Vallée, espace sensible, grandeur nature

La visite chez Fabrice Hyber, que nous organisons aux beaux jours, nous permet de découvrir, en plus des ateliers, « La Vallée ». Il s’agit des terres de ses parents qu’il a voulu préserver de l’agriculture intensive en y semant des arbres. C’est aujourd’hui une grande et belle forêt. En suivant l’artiste qui les guide et en l’écoutant parler, les élèves saisissent le lien étroit qui le lie à ce lieu. L’arbre est le motif principal de ses toiles. C’est aussi une sorte de métaphore de sa pensée : une idée germe dans l’esprit de l’artiste, se développe et donne naissance à d’autres idées, d’autres possibles, des regards poétiques portés sur le monde. Cette pensée en mouvement se donne à voir sur les toiles par la spontanéité des tracés au fusain ou à la peinture, par les annotations écrites qui accompagnent la figuration, par la transparence de la peinture et de la résine qui révèlent les strates. Par sa temporalité, la peinture fait paysage.
Les élèves avaient d’abord été surpris de voir Fabrice Hyber écrire sur ses œuvres tandis qu’il échangeait avec eux. Mais ils comprennent assez vite en parcourant La Vallée l’importance centrale de cette forêt non seulement comme source d’inspiration mais également comme modèle de la pensée de l’artiste. Ainsi, par la fréquentation des œuvres et des lieux, ils apprennent ce qu’est une démarche artistique et perçoivent comment le paysage devient un espace sensible, grandeur nature.

Chez Fabrice Hyber - A la découverte de La ValléeChez Fabrice Hyber - Visite de La Vallée

 

Vignette Expo La ValléeProblématique – questionnements :

Comment apprend-on dans une exposition ? Que peut-on apprendre d’une exposition ?

 

Au cours de l’année scolaire 2022-2023, le groupe d’atelier artistique a eu la chance de pouvoir participer à un programme de classes en résidence, organisé dans le cadre de l’exposition « Fabrice Hyber La Vallée » du 8 décembre 2022 au 30 avril 2023, à la Fondation Cartier à Paris. C’est ainsi que nous avons pu passer deux jours à Paris pour une fréquentation prolongée des œuvres de l’artiste.
Celui-ci avait transformé pour l’occasion les espaces du bâtiment de Jean Nouvel en salles de classes. Les spectateurs, assis à des tables d’écoliers, pouvaient assister notamment à des conférences à deux voix, réunissant des experts de diverses disciplines devant les toiles qui avaient remplacé les tableaux verts.

Fabrice Hyber en professeur

https://www.fondationcartier.com/expositions/la-vallee

« J’ai toujours considéré que mes peintures étaient comme des tableaux de classe, ceux sur lesquels nous avons appris à décortiquer nos savoirs par l’intermédiaire d’enseignants ou de chercheurs. On y propose d’autres mondes, des projets possibles ou impossibles. Dans cette exposition, j’ai choisi d’installer des œuvres à la place de tableaux d’une possible école. »
Fabrice HYBER

Scénographie d’exposition

Afin de préparer notre visite à la Fondation Cartier, nous avons décidé de travailler sur la question de la scénographie d’exposition. D’abord parce que nous allions découvrir là-bas une scénographie assez singulière et qu’il fallait s’y préparer. Ensuite parce que les élèves de l’atelier allaient devoir eux-mêmes exposer leurs productions au Centre Culturel de l’Échiquier à Pouzauges. Entre réel et fiction, art et sciences, leurs productions au statut incertain interrogent inévitablement la scénographie. Cartes, fragments collectés accompagnés de leurs représentations naturalistes et de fiches archéologiques : comment exposer de tels objets ? Aussi, il est indispensable de fournir aux élèves les outils pour penser cette scénographie. L’occasion qui nous est donnée de découvrir celle imaginée par Fabrice Hyber pour la Fondation Cartier est une formidable opportunité.

En amont de la visite à la Fondation cartier

Questionnement

Comment prendre en compte les spécificités d’un espace architectural pour créer une exposition ?

Objectifs :

    • Comprendre les enjeux liés à la mise en espace des œuvres d’art ;
    • Créer des espaces d’exposition en fonction d’une intention ;
    • Permettre aux élèves d’être attentifs et conscients, lors de la visite de l’exposition de Fabrice Hyber à la Fondation Cartier, des choix effectués en termes de scénographie, de mise en espace des œuvres ;

Matériel :

Les élèves, répartis en groupes de 4, disposent :
de plans agrandis (9 formats A3 assemblés) de la Fondation Cartier (Rez-de-chaussé + sous-sol) ;
de photographies montrant les espaces de la Fondation vides ;
de bandes de carton plume de 8,5 cm de largeur ;
de reproductions en couleur à l’échelle des œuvres
de ciseaux, de colle et de cutters.

Déroulé

Au sein de chacun des groupes, un élève de 4e a déjà participé l’année précédente à la visite des ateliers de Mareuil-sur-Lay. Avant de se lancer dans les projets, une première verbalisation mobilise les souvenirs et les connaissances de ces élèves.
« Les 4e, vous avez rencontré Fabrice Hyber dans son atelier l’an dernier : que pouvez-vous dire aux 5e sur son travail ? Sur sa démarche artistique ? Comment il travaille ? Quels sont les sujets qui l’intéressent ? »
Le format des œuvres, leur thématique ainsi que la singularité de la démarche de l’artiste sont évoqués.
« Vous êtes commissaires d’exposition »
Nous proposons alors le visionnage d’une courte vidéo pour définir ce qu’est un commissaire d’exposition, l’interview de Claire Jacquet, directrice du Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA.
À partir du visionnage de cette vidéo, diverses questions permettent de cerner le métier :
Qu’est-ce qu’un commissaire d’exposition ? C’est la personne qui a pour mission de créer, organiser et gérer une exposition
En quoi consiste son travail ? Imaginer et réaliser des expositions
– Quelles sont les étapes pour réaliser une exposition ? Trouver une idée, une thématique, sélectionner des œuvres, imaginer un parcours, une scénographie et communiquer sur cette exposition.

Penser une scénographie à partir du lieu et des œuvresPenser la cohabitation des œuvresPenser l'éclairage

   

Demande :

À partir des éléments et matériaux disponibles, vous allez devoir imaginer une exposition des œuvres de Fabrice Hyber et justifier vos choix. Vous donnerez un nom à votre projet d’exposition.
L’observation des photographies de la Fondation Cartier permet une analyse de l’architecture de Jean Nouvel. Très vite, une question est soulevée : comment exposer dans ce lieu entièrement vitré ?
Il est annoncé aux élèves que leurs projets d’expos seront montrés à Fabrice Hyber que nous irons rencontrer dans son atelier.
Présentation par groupes des projets d’exposition (20 minutes ; 5 minutes par groupe)
À l’issue du travail, chaque groupe présente à l’oral son projet d’exposition en argumentant ses choix :
    • titre de l’exposition
    • œuvres sélectionnées
    • choix scénographiques

 

Au cours de l’année scolaire 2022-2023, le groupe d’atelier artistique a eu la chance de pouvoir participer à un programme de classes en résidence, organisé dans le cadre de l’exposition « Fabrice Hyber La Vallée » du 8 décembre 2022 au 30 avril 2023, à la Fondation Cartier à Paris. C’est ainsi que nous avons pu passer deux jours à Paris pour une fréquentation prolongée des œuvres de l’artiste.
Celui-ci avait transformé pour l’occasion les espaces du bâtiment de Jean Nouvel en salles de classes. Les spectateurs, assis à des tables d’écoliers, pouvaient assister notamment à des conférences à deux voix, réunissant des experts de diverses disciplines devant les toiles qui avaient remplacé les tableaux verts.


L'artiste en médiateurPratiquer au milieu des œuvres de Fabrice Hyber

Confrontation avec la scénographie de la Fondation Cartier

Les 27 et 28 mars, nous nous sommes rendus à Paris, avec une classe du lycée Atlantique de Luçon.
Après le trajet en car, nous avons été accueillis à la Fondation Cartier par Fabrice Hyber. Qui de mieux pour assurer la médiation que l’artiste lui-même !
Les élèves ont alors découvert les œuvres et les choix opéré par l’artiste pour cette exposition singulière. Ayant travaillé en amont sur la scénographie d’exposition, ils ont été particulièrement sensibles à ces choix qu’ils ont pu confronter avec leurs propres projets. Une rencontre a été organisée avec différents personnels de la Fondation qui ont échangé avec les élèves sur leur métier. L’occasion de découvrir une maquette, pas si différente de celle qu’ils avaient pu produire !
En permettant à des collégiens de prendre conscience qu’une exposition est aussi un ensemble de métiers différents, ce projet ne contribue pas simplement au PEAC. Il enrichit aussi leur Parcours Avenir.


Créer au milieu des œuvres

L’après-midi fut dédiée à nouveau à un travail de scénographie. Dans une des salles de l’exposition transformée pour l’occasion en salle d’arts plastiques, les élèves ont imaginé, à partir des croquis de la veille, une exposition des peintures non plus à l’intérieur mais à l’extérieur du grand bâtiment de verre de Jean Nouvel. Quoi de plus stimulant que de créer au contact direct des œuvres !

 

Problématique – questionnements :

Comment apprend-on dans une exposition ? Que peut-on apprendre d’une exposition ?

 
Lectures de Henri Poincaré

Les élèves de l’atelier artistique ont joué les archéologues, inventant une histoire délibérément fantaisiste de leur territoire de vie. Le catalogue qui rend compte de ce travail d’une année a pris la forme d’un faux Guide Michelin. Paradoxalement, le mensonge devient une manière d’approcher une certaine vérité de leur lieu de vie.
L’œuvre de Fabrice Hyber se nourrit également d’emprunts divers, notamment aux sciences, dans une démarche hybride, à la fois artistique et scientifique, où le réel et la fiction s’entremêlent. Au travers des commentaires qu’il fait sur son œuvre, les élèves ont pu saisir comment l’art, les sciences, les mathématiques,… permettent une connaissance et une compréhension différentes mais complémentaire du monde.
Dans l’atelier, des ouvrages de scientifiques et de mathématiciens , comme Henri Poincaré, côtoient les pastels et les fusains. Mieux qu’un discours, l’atelier d’artiste donne à voir comment la mise en relation des différents champs de connaissances permet de s’approprier les savoirs.

 

  • Thierry DE DUVE, Faire école, 1992, Les Presses du Réel, Paris.
  • Gilbert PÉLISSIER – Inspecteur Général honoraire d’Arts Plastiques, « Que l’école est belle (ou petit plaidoyer pour un certain flou) », Article publié dans CommunicAction – Courrier de la commission Académique d’Action Culturelle N° 29 – CRDP – Rectorat de Paris – 1992, Numéro spécial Ateliers de pratiques artistiques
  • Gaston BACHELARD, La Formation de l’esprit scientifique, 1934.
  • Podcast, Laure ADLER, "L’heure bleue", émission du lundi 24 avril 2023 : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-heure-bleue/l-heure-bleue-du-lundi-24-avril-2023-5233584 (17’38’’ Jean-Pierre Changeux évoque les relations entre l’artiste et le scientifique à partir de propos de Jacques Monod qui explique pourquoi les savants sont aussi des artistes)
 
 
auteur(s) :

lionel théfany

information(s) pédagogique(s)

niveau : tous niveaux

type pédagogique : sortie pédagogique, démarche pédagogique

public visé : enseignant

contexte d'usage : atelier, classe, sortie pédagogique

référence aux programmes :

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