histoire-géographie-citoyenneté

A partir d’un panel de 4 documents (textes) sur 4 espaces de production énergétique de l'estuaire de la Loire et d’une carte numérique de localisation, les élèves lisent et classent les informations au sein d’un tableau de synthèse. Chaque élève découvre un document (au minimum) et une correction collaborative est menée. Le vocabulaire spécifique à l’industrie énergétique et au transport maritime est étudié.

Certains points trouveront écho en Physique-Chimie, autour notamment de la combustion et du volume (GNL, gaz stocké). Une différenciation est faite en fournissant à quelques élèves un tableau proposant des éléments d’aide. 

Lien vers le paysage analysé

La récente usine General Electric qui va produire les 80 nacelles du parc éolien du Croisic. Le récent rachat de la branche énergie d'Alstom par l'entreprise américaine intègre l'étude de cas dans un aspect de la mondialisation (source : http://parc-eolien-en-mer-de-saint-nazaire.fr)

En binômes, les élèves vont ensuite augmenter en classe une carte numérique sur uMAP où l’estuaire de la Loire est ponctué par les repères des sites étudiés qui présentent des paysages. Les élèves amendent ces repères par les informations classées dans le tableau et commentent les paysages (la carte mentale permet de ne rien oublier). D'autres paysages et vidéos peuvent également améliorer le travail à condition d'y indiquer la source. Le repérage est ici essentiel afin de bien comprendre les facteurs de localisation et l’environnement de l’estuaire. Le couplage des documents analysés, des photographies commentées et celui de la carte permet l’utilisation combinée de plusieurs langages. Les élèves sont autonomes sur ce travail. Une aide technique, de prise en main n'est pas nécessaire.

A noter : les élèves accèdent à leur carte numérique via un lien donné sur un article de blog e-lyco (ou via messagerie pour la confidentialité). On peut également mettre sur e-lyco un diaporama avec un panel photographique des différents sites industriels étudiés.

Dans un troisième temps, les élèves, individuellement, synthétisent ce qu’ils ont appris sur ces espaces de production énergétique bien différents en complétant un organigramme qui répond à la problématique en mettant en évidence le rôle des acteurs ainsi que les mutations en cours. Une correction collective est faite. Chaque étape amène à une autoévaluation par échelle descriptive (un seul item).

Enfin la mise en perspective est faite en s'appuyant sur la carte mentale d'analyse des espaces productifs. Il serait même possible d'amener les élèves à la création de ce modèle d'analyse. On pourra aussi changer de pespective et remettre ce travail sur une étude schématique des estuaires européens (source : Mappemonde).