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l'exposition comme enjeu

mis à jour le 11/02/2020


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Exposer des productions d'élèves, un enjeu pédagogique et artistique à penser ?

mots clés : exposer, exposition, galerie, espace d'exposition, élèves


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Quelques situations qui permettent de penser la pratique de l'exposition, non pas d'un point de vue seulement intuitif mais en visant une intention d'apprentissage définie en amont.

A ce titre, les séquences pédagogiques travaillant l'exposition de travaux d'élèves sont à préparer en pensant au "pourquoi" puis au "comment".

 




POURQUOI EXPOSER ?

  • En écho, avant ou après une visite d'exposition, dans l'établissement, à l'extérieur, une visite de musée, d'atelier d'artiste, ou bien encore celle d'un site internet d'artiste, de musée.
  • Dans la galerie de l'établissement, aux cotés des œuvres exposées.
  • Dans le cadre des portes ouvertes de l'établissement pour profiter d'un large public.
  • En lien avec un atelier artistique et un artiste.
  • Pour offrir ponctuellement à un ou des élèves un espace d'exposition (Les programmes de lycée invitent à imaginer de nouveaux objectifs de présentation des projets d'élèves).
  • Pour réaliser une création collaborative in situ dans l'espace d'exposition de l'établissement.

 









 
         
 


COMMUNIQUER – DIFFUSER




  • Penser avec les élèves la réalisation de la communication (parcours signalétique, affiche, carton d'invitation, vernissage, presse…)

  • Envisager la médiation de l'exposition auprès de différents publics (élèves de l'établissement et de ceux environnants, personnels, familles, institutions…)

  • Réfléchir à la diffusion via le site internet de l'établissement
 

L'EXPOSITION COMME ENJEU ARTISTIQUE


Exposer des productions d'élèves se fait depuis longtemps au collège comme au lycée dans des espaces désormais reconnus comme étant des mini-galeries. Comme l'indique le texte de référence, cet espace invite le spectateur à prendre le temps de regarder, d’explorer les différentes productions présentées. A minima, elle peut être matérialisée par un mur coloré, ou blanchi dans la salle d'arts plastiques, un décrochement dans un espace de circulation, une alcôve entre deux poteaux avec des indications pour la repèrer : un titre, une signalétique particulière, une ligne colorée le long des murs, quelques informations qui ponctuent la circulation.






 

A l'instar des mini-galeries, le développement du réseau InSitu propose d'autres types d'espaces et lieux de rencontre avec l'œuvre (E-LRO) comme par exemple les galeries d'art à vocation pédagogique. Le développement de ces espaces d'exposition amène de nouvelles questions professionnelles tout en permettant à chacun d'élargir ses compétences.

En effet, les accrochages de travaux d'élèves pensés pour la mini-galerie ne portent pas les mêmes enjeux que ceux élaborés pour la galerie d'art à vocation pédagogique.

S'interroger sur l'exposition des travaux d'élèves, comme le font désormais quelques enseignants pour une galerie d'art à vocation pédagogique, c'est penser la pratique de l'exposition d'un point de vue pédagogique mais aussi artistique.

Quelles sont les questions à poser en amont d'un accrochage ? Pour qui penser l'exposition ? Quelles scénographies, parcours et accrochage à envisager ? Quels sont les tenants et les aboutissants d'une exposition d'art, tant du point de vue réflexif que culturel ?

InSitu ouvre ci-dessous quelques pistes à parcourir, à travailler et à poursuivre en classe. Quelles sont les expositions marquantes, celles qui ont interrogé le statut même de l'exposition ? Quels sont les ouvrages à découvrir pour envisager une éventuelle situation pédagogique sur les questions liées à l'exposition ?

 

Cette liste non exhaustive réunit quelques expositions importantes des XXe et XXIe siècles, soit en raison de la scénographie particulière qu'elles adoptent, soit en raison de la nature des œuvres exposées.

 

1915 - Dernière exposition futuriste
de tableaux 0.10
, galerie Dobychina, Pétrograd (Saint-Pétersbourg)

Cette exposition fit connaître le mouvement baptisé le Suprématisme et Malevitch. Le zéro du 0.10 signifiait qu'après la destruction de l'ancien monde de l'art, débuterait un nouveau. Le dix signifiat qu'il y avait une dizaine d'artistes à l'exposition. Malevitch avait placé son
Quadrangle (carré noir sur fond blanc) dans l'angle formé par les murs, soulignant le statut exceptionnel de cette œuvre. Par la suite, il alla jusqu'à considérer l'ensemble du mur comme un tableau suprématiste et fit varier le sens des accrochages de ses œuvres en fonction de l'ensemble des tableaux sur le mur.

1938 - Exposition Internationale
du Surréalisme
, Paris
1942 - First Papers of Surrealism, New York

Les photographies montrent chacune une œuvre de Marcel Duchamp dans ces expositions.
À Paris en 1938,
Ciel de roussettes est constituée de 1200 sacs de charbon suspendus au plafond au-dessus d'un poêle. Une seule ampoule fournissant l’éclairage, une lampe de poche est donnée à chaque visiteur pour contempler les œuvres à l'intérieur de l'espace créé. Le tapis, rempli de feuilles mortes, et l’arôme de torréfaction du café remplissent l'air. Des hauts-parleurs diffusent des bruits de bottes de soldats et des rires hystériques de malades mentaux.
À New York en 1942,
Sixteen Mile of String est une installation. La ficelle en tension crée un parcours dans l'exposition et un réseau qui voile les peintures exposées, obligeant le spectateur à regarder à travers.

1958 - Le Vide, Yves Klein,
1960 - Le Plein
, Arman,
Galerie Iris Clert, Paris

En 1958, la galerie Iris Clert présente "l'Exposition du vide" de Yves Klein (La spécialisation de la sensibilité à l’état matière première en sensibilité picturale stabilisée, Le Vide).
"Afin de spécialiser l’ambiance de cette galerie, sa sensibilité picturale à l’état de matière première, en climat pictural particulier individuel, autonome et stabilisé : je dois, d’une part, pour la nettoyer des imprégnations des expositions précédentes et nombreuses, la blanchir. En peignant les murs en blanc, je désire par cet acte, non seulement purifier les lieux, mais encore et surtout en faire, par cette action et ce geste, momentanément mon espace de travail et de création, en un mot, mon atelier. (...)
La vitre de la vitrine et de la porte d’entrée sur rue, condamnée, sera peinte en blanc comme l’ensemble. Tout sera blanc pour recevoir le climat pictural de la sensibilité du bleu immatérialisé. (...)
Ainsi, le Bleu tangible et visible sera dehors, à l’extérieur, dans la rue, et, à l’intérieur, ce sera l’immatérialisation du Bleu."

En 1960, la même galerie accueille l’exposition "Le Plein" où Arman remplit l'espace d’objets de rebut et du contenu de poubelles sélectionnées. Cette exposition est le contrepoint de l’exposition "Le Vide" organisée par son ami Yves Klein.

1961 - Environments, situations, spaces, Galerie Martha Jackson, New York

Les artistes invités pour cette exposition avaient pris possession de tous les espaces de la galerie, plaçant d’emblée le visiteur dans une exposition non conventionnelle.
Pour l'œuvre d'Allan Kaprow intitulée
Yard, des centaines de pneus usés et placés en désordre couvraient toute la surface de la cour, à l’origine jardin de sculptures. Cinq formes émergeaient des tas de pneus ; c’était les sculptures de Barbara Hepworth et Alberto Giacometti qui ne pouvaient pas être déplacées et qui furent emballées dans du plastique noir et ficelées.
Les visiteurs étaient encouragés à marcher sur les pneus et à les jeter à leur guise.

1969 - Sans Titre, Jannis Kounelis,
Galerie l'Attico, Rome
Jannis Kounelis expose douze chevaux vivants, transformant la galerie de l’Attico en écurie. Il crée une confrontation entre nature et culture. La frontière entre la vie et l’espace d’exposition (blanc et aseptisé) disparait. Les chevaux renvoient aux tableaux équestres de l’art classique… Mais ici, l’art ne représente plus, il présente.
1969 - Quand les attitudes deviennent forme, Berne

Cette exposition internationale témoigne d'une nouvelle sensibilité à la notion de l'attitude de l'artiste dans le processus de création. Le commissaire d'exposition, Harald Szeemann, y réunit 40 artistes d'avant-garde qui viennent faire leur œuvre sur place.
En montrant que ce qui prime, ce qui fait forme, est l’idée ou l’attitude de l’artiste et non plus l’objet, cette expo remettait en cause, dans l’esprit de la contre-culture de l’époque, l’idée même de musée et de galerie.

1972 - Département des Aigles, Marcel Broodthaers, Kunsthalle, Düsseldorf

En 1968, M. Broodthaers s'oriente vers un art plus conceptuel avec la création d'un musée fictif : le "Musée d'art moderne/Département des Aigles". D'abord créé dans son appartement, il n'est composé que de cartes postales, de projections de diapositives, de caisses pour le transport des œuvres et est présenté dans différents lieux, fonctionnant comme une institution véritable. Le musée connaît son apothéose en 1972 lorsqu'il est exposé à la Kunsthalle de Düsseldorf.
Voyant que la fiction devient peu à peu réalité, que la critique du système muséographique et artistique qu'il a mise en place se transforme elle-même en système, Broodthaers décide de fermer le musée en 1972, alors qu'il est exposé à la Documenta V de Kassel.
 
1985 - Les Immatériaux,
Centre G. Pompidou Paris

L'exposition, initiée par le Centre de création industrielle, s'est déroulée au Centre Georges Pompidou. Elle interrogeait le rôle des technologies dans la modernité et se présentait en cinq parcours, chacun d'eux basé sur la déclinaison de la syllabe MAT (matériel) soit matériau, matrice, matériel, matière, maternité.
Chaque visiteur était équipé d'un casque à réception infra-rouge qui, en des points déterminés de l'exposition, recevait une émission sonore.
1986 - Chambres d'amis,
Gand, Belgique

Dans ce parcours d'exposition, proposé par Jan Hoet et intitulé
"Chambres d’amis" les visiteurs sillonnaient la ville et découvraient, dans les maisons et appartements privés, des œuvres d’artistes. L’idée de sortir l’art contemporain des murs des centres d'art et de le disséminer dans la ville, au plus près des gens, propose une séapration entre le musée et le quotidien. L'oeuvre de Buren est assez parlante puisque son travail était littéralement "coupé" en deux, avec une partie exposée au musée et l'autre dans le contexte d'une maison. Pour se faire un image complète de la proposition, le visiteur devait rendre visite aux deux lieux.

1989 - Les Magiciens de la Terre, Centre G. Pompidou et Grande Halle de la Vilette, Paris
Pour la première fois en France, l'organisateur de cet évènement, le commissaire d'exposition Jean-Hubert Martin, a placé sur la scène internationale de l'art contemporain les arts "non occidentaux" contemporains avec l’envie de tout regrouper ensemble, comme provenant de la même branche d’art, ce qui permet la vision d’œuvres extrêmement diversifiées. Cette exposition a permis une nouvelle approche de l’histoire de l’art.
1997 - Reconstruction à l'identique de l'atelier de Constantin Brancusi, Piazza du Centre G. Pompidou, Paris

Constantin Brancusi a accordé une importance capitale à la relation de ses sculptures avec l’espace qui les contient en disposant des sculptures dans une étroite relation spatiale.
À partir des années 1920, l’atelier devient le lieu de présentation de son travail et une œuvre d’art à part entière, un corps constitué de cellules qui se génèrent les unes les autres.
À la fin de sa vie, Constantin Brancusi ne produit plus de sculptures pour se concentrer sur leur seule relation au sein de l’atelier. Cette proximité devient si essentielle, que l’artiste ne souhaite plus exposer et, quand il vend une œuvre, il la remplace par son tirage en plâtre pour ne pas perdre l’unité de l’ensemble.

2003 - The Weather Project, Olafur Eliasson, Tate Modern, Londres

The Weather Project est une installation géante qui évoque un grand soleil situé à l’Est du hall de la Tate Modern de Londres, élément de la nature au sein d'un lieu de culture. L'artiste y a suspendu un demi-disque d’une quinzaine de mètres de diamètre, illuminé par une grande quantité de lampes. Le plafond du lieu a été entièrement recouvert de miroirs et une brume créée par une fumée légère, froide est diffusée dans l’espace donnant une certaine irréalité à l’ensemble.
 
2016 - Carambolage,
Galeries nationales du Grand Palais, Paris

Sous la direction du commissaire Jean-Hubert Martin, l'exposition propose un concept novateur : décloisonner l’approche traditionnelle de l’art et dépasser les frontières des genres et des époques, en proposant un parcours visuel et sensoriel détaché de la chronologie et des thématiques avec plus de 180 œuvres disposées les unes à côté des autres sans tenir compte de leur contexte d’origine. Le parcours est conçu comme un jeu de dominos, où chaque œuvre induit la suivante par une association d’idées ou de formes.

 

 
Pour completer la liste des expositions "repères" présentées ci-dessus, télécharger le livret pdf "EXPOSER" de l'intention à la mise en oeuvre .lien
 


L'Art de l'exposition : Une documentation sur trente expositions exemplaires du XXe siècle - édition du regard – 1998
Ouvrage Collectif, traduit de l'allemand par Denis Trierweiler

Une exposition représente le moyen de communication artistique le plus ancien, celui qui rencontre le plus vif succès mais demeure paradoxalement le plus équivoque aux yeux du public, des artistes et des critiques. Il semble que l'exposition d'art contemporain ait de tout temps été subversive.
En 1912, l'exposition des Futuristes à Paris crée un scandale retentissant. Le Premier Salon d'Automne allemand, Berlin 1913, suscite louanges et injures de même que l'exposition Dada de 1920, l'exposition dans l'étable de joseph Beuys en 1963, ou encore Quand les attitudes deviennent forme en 1969...
Au seuil de l'an 2000 nous nous devions de faire l'inventaire des expositions marquantes de ce siècle à travers les textes et témoignages de Harald Szeemann, Pierre Restany, Germano Celant, Milton Brown, Achille Bonito Oliva, Ad Petersen... principaux acteurs de cette forme de création du XXe siècle et de tirer les enseignements du courage intellectuel et de l'audace de leurs organisateurs.
L'Art de l'Exposition ne tend pas à l'exhaustivité, il se propose avant tout d'étudier les événements artistiques qui ont, au cours du XXe siècle, façonné l'art de l'exposition, de l'accrochage
 
Jean-Marc POINSOT, Quand l’œuvre a lieu : l’art exposé et ses récits autorisés, MAMCO,  Genève, 1999

Réédition de l'essai de référence sur l'art exposé, en tant que transformation profonde de la pratique artistique, nouveau mode de lecture des œuvres et condition de leur actualisation.
L'art exposé n'a pas seulement pris une place dans l'histoire de l'art, il marque insensiblement une transformation profonde de la pratique artistique. Il importait de mettre en évidence comment, en se saisissant de la circonstance de l'exposition, des artistes comme Yves Klein, Daniel Buren ou Lawrence Weiner avaient transformé la manière dont les œuvres ont lieu.
 
Jean-Charles CHABANNE, Marc PARAYRE et Éric VILLAGORDO, La Rencontre avec l’œuvre, Éprouver, pratiquer, enseigner les arts et la culture, Coll. Arts Transversalités Education, L’Harmattan, Paris, 2012.

"Rencontrer" une œuvre d'art, cela s'apprend-il ? A l'école, au collège, au lycée, à l'université et tout au long de la formation professionnelle, cet apprentissage est "essayé", sans être interrogé. Les pratiques des acteurs permettent de s'interroger sur la réalité d'une démocratisation culturelle qui se fait trop attendre.
 
Jérôme GLICENSTEIN, L’art : une histoire d’expositions, Presses universitaires de France, Lignes d’art, 2009

Cet ouvrage propose une alternative à l'idée traditionnelle d'histoire de l'art sous la forme d'une histoire de l'exposition. C'est un domaine à la fois hétérogène de par sa nature, et en chantier permanent selon les nouvelles expositions et nouveaux scénographes. L'époque contemporaine parle d'ailleurs beaucoup d'expositions et moins d'art ou d'œuvres d'art.
Parler d'exposition permet ainsi de changer de perspective : on désigne par là des moments et des événements singuliers, des choix assumés et défendables, et l'art n'est plus en position première. On renonce à savoir si les objets présentés sont de l'art ou non, au profit de la question : que fait-on avec ces objets ? On cherche alors à savoir ce que l'on souhaite transmettre à tel public, à tel moment avec tel objet ou telle œuvre. Ce qui devient important est le sens que l'on attribue à des objets dans un contexte précis, ce que l'on essaie de transmettre par les expositions. C'est ainsi qu'une œuvre devient une création institutionnelle, témoin d'un pouvoir symbolique, intellectuel, politique, voire financier... Établir une histoire de l'exposition revient alors à identifier tous ces éléments et à les replacer dans le contexte socio-historique susceptible d'en rendre compte.
 
James PUTNAM Le musée à l'œuvre le musée comme medium dans l'art contemporain, Thames & Hudson, 2001

Face à l'émergence d'une tendance muséographique dans l'art et à la multiplication des interventions d'artistes au sein du musée traditionnel, James Putnam se propose d'analyser, pour la première fois, un phénomène passionnant : l'utilisation du musée comme médium.
A travers les ouvres de plasticiens tels que Hans Haacke, Christian Boltanski, Tracey Emin, Fred Wilson et des projets réalisés dans des musées non artistiques, l'auteur montre non seulement comment des artistes ont été influencés par les systèmes muséographiques et ont fait de leurs ouvres des simulations du musée, mais aussi comment ils ont analysé les pratiques de l'institution muséales, ont interrogé sa nature et son rôle, sont intervenus en son sein, et ont contribué finalement à la redéfinir.
En proposant un panorama des différents regards portés par les artistes sur le musée et des dialogues entre musées et plasticiens qui en sont nés, ce livre dresse un tableau d'un musée en pleine mutation.
 
Nicole MORIN & Michelle GUITTON La pratique de l'exposition, Scéren CRDP, Poitou-Charentes (désormais uniquement en médiathèque)

Cet ouvrage répond aux questions que posent les différentes étapes de la visite et de la réalisation d'une exposition (artistique mais à adapter à n'importe quelle thématique) dans le cadre éducatif : conception, montage et réception. Plein d'idées, de photos et de propositions pédagogiques transposables, pour rendre l’élève acteur, des maternelles aux secondaires.

 

 
 

information(s) pédagogique(s)

niveau : tous niveaux, --- COLLÈGE ---, --- LYCÉE ---

type pédagogique :

public visé : non précisé

contexte d'usage :

référence aux programmes :

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