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les compétences transversales et les échelles descriptives
Lors de la première journée de formation autour du projet de l’évaluation non chiffrée, l’idée était de réunir et d’impliquer activement dans le projet tous les adultes de l’établissement en lien avec les élèves d’un point de vue pédagogique et éducatif. Participaient donc les enseignants, mais aussi les éducateurs d’internat impliqués notamment le soir sur l’accompagnement au travail personnel de l’élève.
Pour ce faire, l’angle de travail a été de réfléchir et discerner les compétences transversales et communes demandées aux élèves dans l’établissement, au-delà même des compétences purement disciplinaires.
Trois domaines de compétences ont finalement été identifiés (travail en groupes pendant la journée de formation et synthèse construite par les enseignants animateurs et l’accompagnateur Cardie) et ont donné chacun lieu à une échelle descriptive. Il s’agit d’une grille où, pour une compétence définie, différents critères d’évaluation et quatre niveaux de maîtrise de cette compétence sont définis : début de maîtrise, maîtrise partielle, maîtrise satisfaisante, très bonne maîtrise.
Ces grilles ont été utiles d’une part pour permettre aux personnels de l’Érea de s’approprier le projet, de construire une école sans notes et de faire corps au moment de se lancer dans le projet. Par ailleurs, ces outils d’évaluation des compétences transdisciplinaires des élèves s’avèrent précieux, notamment dans un souci d’observer des progressions au fil de la scolarité. Néanmoins, les compétences disciplinaires restent l’entrée privilégiée dans les bulletins trimestriels.
Pour ce faire, l’angle de travail a été de réfléchir et discerner les compétences transversales et communes demandées aux élèves dans l’établissement, au-delà même des compétences purement disciplinaires.
Trois domaines de compétences ont finalement été identifiés (travail en groupes pendant la journée de formation et synthèse construite par les enseignants animateurs et l’accompagnateur Cardie) et ont donné chacun lieu à une échelle descriptive. Il s’agit d’une grille où, pour une compétence définie, différents critères d’évaluation et quatre niveaux de maîtrise de cette compétence sont définis : début de maîtrise, maîtrise partielle, maîtrise satisfaisante, très bonne maîtrise.
• La première grille de compétences est intitulée : “L’élève est capable d’analyser une situation-problème et d’y trouver une solution.” Il s’agit d’observer comment, face à une consigne, une demande, un travail mais aussi une situation de vie, l’élève va analyser et comprendre la demande ou la situation, de quelle autonomie et de quelle initiative personnelle il va savoir faire preuve, quelle solution il va pouvoir proposer, seul ou avec un étayage de l’enseignant ou d’un pair (tutorat).
• La deuxième grille de compétences concerne davantage la maîtrise de l’expression et du langage : “L’élève est capable de comprendre et de formuler un message adapté à toute situation de communication.” Quatre critères concernant la compréhension et la formulation d’un message, la maîtrise des émotions et l’adaptation du langage à une situation donnée ont été identifiés. A noter l’importance aigue de ces compétences pour des élèves allophones, en sérieux échec scolaire ou en manque de confiance dans leur cursus scolaire.
• La troisième grille de compétence s’intitule : “L’élève sait identifier ses points forts et ses fragilités afin de mettre en œuvre une stratégie de progression individuelle et collective.” Les différents critères d’évaluation insistent notamment sur les notions d’autonomie dans la recherche de ressources, d’interaction et de solidarité entre les élèves, de capacité à travailler en groupe et à évaluer son propre travail ou celui d’un pair.
• La deuxième grille de compétences concerne davantage la maîtrise de l’expression et du langage : “L’élève est capable de comprendre et de formuler un message adapté à toute situation de communication.” Quatre critères concernant la compréhension et la formulation d’un message, la maîtrise des émotions et l’adaptation du langage à une situation donnée ont été identifiés. A noter l’importance aigue de ces compétences pour des élèves allophones, en sérieux échec scolaire ou en manque de confiance dans leur cursus scolaire.
• La troisième grille de compétence s’intitule : “L’élève sait identifier ses points forts et ses fragilités afin de mettre en œuvre une stratégie de progression individuelle et collective.” Les différents critères d’évaluation insistent notamment sur les notions d’autonomie dans la recherche de ressources, d’interaction et de solidarité entre les élèves, de capacité à travailler en groupe et à évaluer son propre travail ou celui d’un pair.
Ces grilles ont été utiles d’une part pour permettre aux personnels de l’Érea de s’approprier le projet, de construire une école sans notes et de faire corps au moment de se lancer dans le projet. Par ailleurs, ces outils d’évaluation des compétences transdisciplinaires des élèves s’avèrent précieux, notamment dans un souci d’observer des progressions au fil de la scolarité. Néanmoins, les compétences disciplinaires restent l’entrée privilégiée dans les bulletins trimestriels.
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