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défi - collège de l’Èvre - 49
Le collège de l’Èvre est un collège rural qui est situé sur les hauteurs d’une colline surplombant champs et bois tout près de la rivière de l’Èvre. La plupart des élèves vient au collège en car. L’accès à la culture scientifique est de par cette situation géographique peu facilitée. Une des particularités du collège réside dans son architecture originale qui lui fait ressembler à un bateau dans son environnement paisible de verdure. Il est situé à 55 km de Nantes, à 60 km d’Angers et 35 km de Cholet.
Bienvenue à bord !
Dès 2014, des professeurs de mathématiques font le constat que quelques élèves montrent de réelles difficultés à mobiliser leurs connaissances lors de la résolution de tâches complexes ou de problèmes ouverts. Observées aussi en sciences et vie de la Terre, les compétences scientifiques ne sont globalement pas acquises et peinent à s’installer.
Des dispositifs de remédiation et de tutorat, des PPRE (Programme personnalisé de réussite éducative) sont mis en place auprès de ces élèves mais les résultats observés ne conviennent pas pleinement aux enseignants de mathématiques et de SVT. Ces derniers commencent à envisager un travail collaboratif.
Néanmoins, indépendamment des difficultés rencontrées en sciences, les élèves montrent un réel engouement en s’inscrivant nombreux aux ateliers scientifiques transversaux proposés dans l’établissement (maths en jeans, club rubik’s cube, club jardin écologique, construction d’un mur végétal…).
Pour l’année 2014-2015, des classes de sixièmes de 27 à 29 élèves sont prévues et les moyens de la DHG ne permettent pas d’établir des groupes allégés. Deux professeurs en mathématiques et une professeure en SVT décident alors de se lancer dans la mise en place un dispositif de coopération scientifique. Ces professeurs ont déjà la motivation de co-animer des séances de cours. La co-animation envisagée aurait un coût en heures plus faible que la mise en place de groupes en SVT. Ces professeurs se saisissent de ce contexte pour lancer ce projet.
Les défis de ce projet (extraits de la fiche expérithèque) :
Des hypothèses
Bienvenue à bord !
Dès 2014, des professeurs de mathématiques font le constat que quelques élèves montrent de réelles difficultés à mobiliser leurs connaissances lors de la résolution de tâches complexes ou de problèmes ouverts. Observées aussi en sciences et vie de la Terre, les compétences scientifiques ne sont globalement pas acquises et peinent à s’installer.
Des dispositifs de remédiation et de tutorat, des PPRE (Programme personnalisé de réussite éducative) sont mis en place auprès de ces élèves mais les résultats observés ne conviennent pas pleinement aux enseignants de mathématiques et de SVT. Ces derniers commencent à envisager un travail collaboratif.
Néanmoins, indépendamment des difficultés rencontrées en sciences, les élèves montrent un réel engouement en s’inscrivant nombreux aux ateliers scientifiques transversaux proposés dans l’établissement (maths en jeans, club rubik’s cube, club jardin écologique, construction d’un mur végétal…).
Pour l’année 2014-2015, des classes de sixièmes de 27 à 29 élèves sont prévues et les moyens de la DHG ne permettent pas d’établir des groupes allégés. Deux professeurs en mathématiques et une professeure en SVT décident alors de se lancer dans la mise en place un dispositif de coopération scientifique. Ces professeurs ont déjà la motivation de co-animer des séances de cours. La co-animation envisagée aurait un coût en heures plus faible que la mise en place de groupes en SVT. Ces professeurs se saisissent de ce contexte pour lancer ce projet.
Les défis de ce projet (extraits de la fiche expérithèque) :
• améliorer les compétences scientifiques des élèves,
• stimuler leur curiosité,
• développer leur intérêt pour ces disciplines,
• approfondir l’aide méthodologique,
• leur permettre de mieux comprendre certaines notions scientifiques, en SVT comme en mathématiques.
• éviter ou prévenir le décrochage en renforçant l'appétence et l'ambition scolaire.
• stimuler leur curiosité,
• développer leur intérêt pour ces disciplines,
• approfondir l’aide méthodologique,
• leur permettre de mieux comprendre certaines notions scientifiques, en SVT comme en mathématiques.
• éviter ou prévenir le décrochage en renforçant l'appétence et l'ambition scolaire.
Des hypothèses
Chaque discipline pourrait servir d'outil ou de support à l'autre discipline, permettant ainsi de prolonger, de réinvestir une notion ou d'en introduire une nouvelle. Le regard croisé des professeurs et le changement de contexte devrait permettre une évaluation plus fine, des solutions de remédiation et une cohérence entre les disciplines.
Cette hypothèse est appuyée par le CSP (conseil supérieur des programmes) : "Chaque domaine de connaissances et de compétences requiert la contribution de toutes les disciplines… chaque discipline apporte sa contribution à tous les domaines."
En mettant en place une programmation spiralée (voir définition dans la partie recherche) entre les 2 disciplines sur un certain nombre de connaissances, savoir-faire, savoir-être, compétences préalablement sélectionnées, il devrait être plus aisé de pratiquer la démarche d'investigation telle qu'elle est inscrite dans les nouveaux programmes de sciences.
Cette hypothèse est appuyée par le CSP (conseil supérieur des programmes) : "Chaque domaine de connaissances et de compétences requiert la contribution de toutes les disciplines… chaque discipline apporte sa contribution à tous les domaines."
En mettant en place une programmation spiralée (voir définition dans la partie recherche) entre les 2 disciplines sur un certain nombre de connaissances, savoir-faire, savoir-être, compétences préalablement sélectionnées, il devrait être plus aisé de pratiquer la démarche d'investigation telle qu'elle est inscrite dans les nouveaux programmes de sciences.
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