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mise en œuvre - collège de l'Èvre - 49
Ce projet concerne les enseignements de mathématiques et des Sciences de la vie et de la Terre avec la mise en place de co-intervention des deux enseignants. Il débute avant la réforme du collège 2016. Certains points, comme la co-intervention et l’aide personnalisée, sont novateurs au début de l’expérimentation.
Point 1 : emploi du temps
Les emplois du temps de toutes les classes de sixième sont pensés pour permettre la co-intervention des deux enseignants de mathématiques et de SVT. Au début de l’expérimentation, elle était idéalement de 45 minutes hebdomadaires, elle est en 2016-2017 de 30 minutes. Cette co-animation se fait sur la séance de SVT qui dure 1h30, c’est-à-dire que le professeur de mathématiques intervient en fin de séance sur le cours de SVT et non sur un temps de mathématiques.
En SVT : même horaire réglementaire à prévoir (par classe)
En mathématiques : horaire réglementaire et 30 min de co-intervention en SVT (par classe).
Point 2 : progression commune (voir exemple dans boîte à outils)
Chaque enseignant construit une progression disciplinaire en prenant en compte la progression de l’autre discipline. Une troisième progression "coopération scientifique" est élaborée dans le même temps.
Le schéma ci-contre traduit cette réflexion :
En orange, une progression spiralée est prévue en mathématiques, de même, une progression spiralée est prévue en SVT, schématisée en bleu.
Ces deux spirales se croisent en des points qui sont les objectifs de la progression spiralée en coopération (spirale noire).
Point 3 : pendant la co-intervention : la coopération
Dans ce projet, il n’est pas question de juxtaposer des connaissances de chaque discipline mais de les traiter de façon à ce que chaque enseignement apporte et aide à faire construire les compétences en jeu de sa et l’autre discipline. Ces compétences construites sont prolongées hors cadre, c’est-à-dire aussi pendant les cours de mathématiques ou des sciences de la vie et de la terre.
"Lors des séances hebdomadaires de SVT, le professeur de mathématiques de la classe correspondante intervient et coopère avec le professeur de SVT pendant la dernière demi-heure du cours de SVT.
La présence des deux professeurs favorise :
Point 4 : "Le livret participatif des progrès" ©
Ce livret est présenté dans l’onglet "boite à outils". C’est un outil qui permet de voir la progression des apprentissages pour certaines compétences visées. L’outil est à disposition des élèves, des parents et de l’équipe éducative. L’outil est accompagné des échelles descriptives associées.
Point 1 : emploi du temps
Les emplois du temps de toutes les classes de sixième sont pensés pour permettre la co-intervention des deux enseignants de mathématiques et de SVT. Au début de l’expérimentation, elle était idéalement de 45 minutes hebdomadaires, elle est en 2016-2017 de 30 minutes. Cette co-animation se fait sur la séance de SVT qui dure 1h30, c’est-à-dire que le professeur de mathématiques intervient en fin de séance sur le cours de SVT et non sur un temps de mathématiques.
En SVT : même horaire réglementaire à prévoir (par classe)
En mathématiques : horaire réglementaire et 30 min de co-intervention en SVT (par classe).
Point 2 : progression commune (voir exemple dans boîte à outils)
Chaque enseignant construit une progression disciplinaire en prenant en compte la progression de l’autre discipline. Une troisième progression "coopération scientifique" est élaborée dans le même temps.
Le schéma ci-contre traduit cette réflexion :En orange, une progression spiralée est prévue en mathématiques, de même, une progression spiralée est prévue en SVT, schématisée en bleu.
Ces deux spirales se croisent en des points qui sont les objectifs de la progression spiralée en coopération (spirale noire).
Point 3 : pendant la co-intervention : la coopération
Dans ce projet, il n’est pas question de juxtaposer des connaissances de chaque discipline mais de les traiter de façon à ce que chaque enseignement apporte et aide à faire construire les compétences en jeu de sa et l’autre discipline. Ces compétences construites sont prolongées hors cadre, c’est-à-dire aussi pendant les cours de mathématiques ou des sciences de la vie et de la terre.
"Lors des séances hebdomadaires de SVT, le professeur de mathématiques de la classe correspondante intervient et coopère avec le professeur de SVT pendant la dernière demi-heure du cours de SVT.
La présence des deux professeurs favorise :
• Les échanges
• Les travaux de groupes
• La différenciation (constitution de groupes de besoin, aides, évaluation formative, co-évaluation...)
• L'appropriation par les élèves des démarches communes et des liens entre les deux disciplines mais aussi de leurs spécificités (en mettant l’accent sur quelques mots polysémiques, en soulignant un vocabulaire propre à chaque matière,…)
• L’observation des démarches menées par les élèves.
• L'identification des besoins des élèves (évaluations diagnostiques)".
• Les travaux de groupes
• La différenciation (constitution de groupes de besoin, aides, évaluation formative, co-évaluation...)
• L'appropriation par les élèves des démarches communes et des liens entre les deux disciplines mais aussi de leurs spécificités (en mettant l’accent sur quelques mots polysémiques, en soulignant un vocabulaire propre à chaque matière,…)
• L’observation des démarches menées par les élèves.
• L'identification des besoins des élèves (évaluations diagnostiques)".
Point 4 : "Le livret participatif des progrès" ©
Ce livret est présenté dans l’onglet "boite à outils". C’est un outil qui permet de voir la progression des apprentissages pour certaines compétences visées. L’outil est à disposition des élèves, des parents et de l’équipe éducative. L’outil est accompagné des échelles descriptives associées.
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