Les CPS : les émotions, le bien être à l’écoleUn incontournable : le
site de l’Ireps des pays de la Loire. On y retrouve « un cartable des CPS » sorte de « trousse à outils », très opérationnelle.
Quelques ouvrages de référence | Quand nos émotions nous rendent fous P. Jeammet, édition Odile Jacob, 2019 “Nous pouvons tous, à un moment ou à un autre, être submergés par nos émotions. Ces débordements, s’ils sont souvent passagers, ne sont jamais anodins : ils nous font du mal, nous coupent des autres, nous enferment. Ils peuvent aussi nous amener loin, loin, parfois jusqu’à la folie. Et on en arrive à détruire ou à se détruire pour exister”. Philippe Jeammet nous montre dans ce livre que tout cela est réversible. |
 | Les Éditions Chroniques sociales éditent des petits livres à destination des élèves et des enseignants sur différents thèmes, ils sont largement illustrés. Quelques titres à disposition : • “J’apprends à Travailler” • “J’apprends à vivre en citoyen” • “J’apprivoise mes émotions” |
 | “Le bienêtre de l’élève”, publié par les Cahiers pédagogiques, n° 575, Février 2022. |
Une vidéo de la chaine “Et tout le monde s’en fout”Présenté par un humoriste, elle décrit les différentes émotions. Utilisable en classe.
Programme crée par Alex Lattuada et Fabrice De Boni, en ligne mars 2017.
Un ouvrage autour de la motivation de l’élève
Extrait de l’introduction :
“Cette conception de l’enseignement, attribuée à Aristophane et reprise plus tard par Montaigne, se retrouve dans de nombreuses traditions. Quiconque, en effet, a observé un jeune enfant explorer le monde est convaincu que, plus que les autres mammifères, le petit d’homme est naturellement motivé pour aller au-delà du connu, expérimenter, essayer, se tromper, recommencer. (…) . Nul besoin de récompenses exogènes, de menaces ou de pressions : l’apprentissage fait d’emblée, chez l'être humain, l’objet d’une motivation endogène, puisque notre cerveau est ainsi constitué, comme on le verra plus loin. Alors pourquoi, et de plus en plus, multiplier les contrôles pour vérifier « que le vase ne fuit pas » ?
En France, un millier de contrôles sont effectués de la sixième à la troisième ; la plupart du temps, on constate par la suite que les élèves, au lycée et à l’université, ne travaillent et ne se motivent que si c’est noté, que si ça compte ou que si c’est obligé !
Aurions-nous, par nos pratiques pédagogiques, « éteint le feu » ? Si oui, comment le ranimer ?”.