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effets spéciaux : quel rapport au réel veut le cinéma ?

mis à jour le 03/02/2020


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Questionnements en introduction à la formation de février 2020

mots clés : effets spéciaux, formation


Document sans nom


Ouvrages de références  :
Les images de synthèse au cinéma, Laurent Jullier, Cecile Welker, Armand Colin, 2017
Les effets spéciaux au cinéma, Réjane Hamus-Vallée, Caroline Renouard, Armand Colin, 2018.


Introduction


Extrait de Peau d’âne de Jacques Demy  (1970) : la Fée des Lilas explique à la princesse qu’« on n’épouse pas ses parents ». Trucage de l’arrêt de caméra + chant.

    Les effets spéciaux sont des arts trompeurs : il s’agit de créer l’illusion d’actions, de décors, de simuler des objets, des environnements, des personnages, des phénomènes qui n’existent pas dans la réalité ou qui ne pourraient pas être filmés au moment du tournage. Les effets spéciaux induisent une tension entre le réel et l’extraordinaire, l’exceptionnel. C’est cette tension qui participe de la force de l’art cinématographique. Au cinéma, dans la réalité du film, le rêve et le surnaturel peuvent surgir et cohabiter sans que le spectateur ait le sentiment de devenir fou. Entre invisible et spectaculaire, entre réel et surnaturel, entre rêve et réalité, les effets spéciaux sont donc bien un élément essentiel de mise en scène au cœur de la puissance de signification de l’art cinématographique.

    Petit rappel : parmi les effets spéciaux on distingue les effets réalisés « en direct sur le plateau » (pyrotechnie, arrêt de caméra, cascades...) et les effets visuels qui procèdent à l’origine de la manipulation de pellicule en laboratoire, qui sont désormais numériques : matt painting, compositing, animation...

    Dans tous les cas, pour reprendre Réjane Hamus Vallée et Caroline Renouard, il y a un écart entre une prise de vue «  sans » effets spéciaux et une prise de vue « avec ». Dans tous les cas pratiquement, sauf œuvre expérimentale abstraite, les effets spéciaux ont besoin du réel et ne se pensent que dans le rapport qu’ils ont avec la réalité, y compris dans les films ultra « numérisés » comme La Planète des Singes ou même Le Seigneur des Anneaux. Ces films ont besoin des corps des acteurs, de leurs mimiques, on ne parle pas pour rien de Motion Capture ou Performance capture : il s'agit bien, là aussi, de partir du jeu d’un acteur, de ses capacités d’expression, de ses mouvements, même si c’est pour le masquer numériquement ensuite avec des éléments de synthèse. Les effets numériques les plus poussés s’adossent au réel, ont besoin de lui, mais, selon les films, dans des proportions très différentes.

    C’est ce rapport du réel et au rêve travaillé par l’utilisation des effets spéciaux qu’il peut être intéressant d’observer avec les élèves. Quel rapport au réel entretient le film ? S’agit-il de l’enchanter, le fuir, l’interroger, le transcender ? Si l’on part de l’idée que tout film est un parti-pris en face de la réalité, les effets spéciaux sont l’instrument qui renseigne sur ce parti pris. Comment les effets spéciaux métabolisent-ils le réel ? Le réalisme n’est-il pas le but à atteindre par la plupart des effets visuels numériques ? Interroger le réel, se positionner par rapport à lui pour développer son regard, c’est finalement un enjeu de chaque film. Nous pouvons poser à un très grand nombre de films la question de leur relation au réel, par la place et la technique choisie pour les effets spéciaux, y compris les films qui utilisent des effets spéciaux très discrets. Pour mieux comprendre ce qui se joue dans cette tension entre effets spéciaux et réalisme, nous ferons aussi un petit détour par le jeu video, pour qui les effets spéciaux sont absolument constitutifs, mais qui, paradoxalement, visent le réel comme un absolu.


 

1- Des effets spéciaux numériques  pour imiter le réel parfaitement : le photoréalisme.

Le cas des chaussettes vertes de Marion Cotillard dans De rouille et d’os, Jacques Audiard, 2012. Adaptation d’une nouvelle du canadien Craig Davidson.


 

Un budget de 15,55 millions d'euros co-production franco belge : Why not Production – France2 – Page 114 (société de production de J.Audiard) et Les films du Fleuve (société de production des frères Dardenne).

Synopsis – Ali (Matthias Schoenaerts), jeune marginal sans le sou, arrive  avec son jeune fils à Antibes, chez sa sœur. Une nuit où il travaille comme videur dans une boîte de nuit, il vient au secours de Stéphanie (Marion Cotillard) à l'extérieur de la boîte. Comme elle n'est pas en état de conduire, il la reconduit chez elle et lui laisse son numéro de téléphone portable. Stéphanie est dresseuse d'orques au parc aquatique. Un jour, une orque emportée par son élan détruit la passerelle sur laquelle se tient Stéphanie. Le choc est si violent que Stéphanie est amputée des deux jambes. En pleine dépression,  une nuit, elle téléphone à Ali qui la rejoint et décide de l'aider.

Dans le commentaire du film, Jacques Audiard assume l’amputation des jambes de Marion Cotillard comme une proposition érotique. Il s’agit de bouleverser le regard habituel sur le handicap et le corps amputé. Audiard ajoute « ce film, il y a 10 ans, je ne l’aurais pas fait car il y avait encore une lourdeur des effets spéciaux à la prise de vue ». Tournage très simple : Marion Cotillard a enfilé des chaussettes vertes. La société MIKROS spécialisée dans les effets spéciaux numériques a fait le reste.

 

2- Des effets spéciaux traditionnels au service du naturel : quand le surnaturel s’approche du réel, se mêle intimement à lui.

Border, Ali Abbasi  des effets spéciaux à la fois spectaculaires et réalistes. Comment l’étrangeté devient naturelle.


Le cinéaste : Ali Abbasi, est né en Iran en 1981, installé en Suède puis au Danemark à partir des années 2000.
Budget : ?
Recette : 1 816 320 $

Synopsis - Tina, douanière à l’efficacité redoutable, est connue pour son odorat extraordinaire. C'est presque comme si elle pouvait flairer la culpabilité d’un individu. Mais quand Vore, un homme d'apparence suspecte, passe devant elle, ses capacités sont mises à l'épreuve pour la première fois. Tina sait que Vore cache quelque chose, mais n’arrive pas à identifier quoi. Pire encore, elle ressent une étrange attirance pour lui...

Le projet : Un pur conte fantastique et naturaliste, du début à la fin,  Il contraint à regarder en face, et sans préambule, tout ce qui dérange – l’étrange, l’étranger, l’altérité, la difformité. Ali Abbasi  : « au lieu de styliser le monde à l’extrême et de créer une certaine distance, je voulais fabriquer un film presque réaliste ». J’ai toujours refusé de faire un film à effets spéciaux […] dès le départ  je refusais d’opposer rêve et réalité ». Le film nous met à l’épreuve, il abolit la frontière entre la réalité et le fantastique.  Ali Abbasi dans le bonus du DVD : « c’est la capacité du cinéma à repousser les limites qui me fascine ». [...]« Au cinéma, il y a cette étrange récurrence esthétique où les gens normaux sont beaux ». Abbasi a fait un film « sur les personnes aux limites de l’humanité en s’appuyant sur la mythologie scandinave ».
Effets spéciaux : 98  % du film tourné sans effets spéciaux numériques, mais trucages de maquillage. Les acteurs portaient un épais masque de silicone. Quatre heures de maquillage chaque jour. Les acteurs ont pris 20kg pour le rôle.

 

3- Le trucage artisanal au service de la poésie. Assumer le merveilleux et la magie, sans chercher le réalisme.

Peau d’âne, film musical de Jacques Demy, 1970. Adaptation d’un conte de Charles Perrault.

Budget : 5 millions de francs (un peu moins d’un millions d’euros).
En plus de l’extrait montré en ouverture qui a recours au trucage par arrêt de caméra, ici autre trucage qu’utilisait en son temps l’enchanteur Méliès : la surimpression et le cache. Extrait de la rose qui parle au prince.

Synopsis - Une princesse forcée d'épouser son père fuit son royaume en se dissimulant sous une peau d'âne. Suscitant l'hostilité par son déguisement, elle parvient à conserver son secret jusqu'à sa rencontre fortuite avec le prince d'un château voisin. Une fois leur amour avoué et l'identité de la princesse révélée, les noces des deux jeunes gens sont célébrées dans l'harmonie retrouvée. À cette histoire merveilleuse, le réalisateur apporte une esthétique « pop » caractéristique des années 1960 mais encore inédite dans le cinéma français. [Wikipedia]
 

Se servir du trucage de façon visible : le cinéaste dit qu’il truque en même temps qu’il utilise le trucage : le spectateur sait qu’on l’embobine, il peut dire à quel moment il y a eu un truc, un tour de passe passe, et non seulement il l’accepte, mais c’est ce qui lui plaît, comme de voir un magicien faire ses tours . Sorte de clin d’œil du réalisateur au spectateur : un plaisir de la connivence, un plaisir régressif de retourner en enfance et dans le merveilleux des contes, où tout est possible. En même temps ici, le réel est très présent dans le décor naturel de la forêt. Le monde réel est enchanté par certains éléments truqués, par les costumes, et par les chants.

On peut voir dans les deux exemples de Border et De rouille et d’os la trace persistante du réalisme, voire du naturalisme qui marque historiquement le cinéma européen. Goût pour les trucages discrets, pour une hybridation en faveur du réalisme et finalement une sorte de méfiance à l’égard des effets spéciaux numériques et autre CGI (computer Generated Image) qui recomposent totalement des univers fictifs. Peau d’âne peut aussi se lire comme un manifeste en faveur d’un cinéma artisanal, un artisanat d’art précis et soigné mais un artisanat avant tout.

Faut-il opposer les films européens aux films américains ?  En tout cas, sur le plan économique : « Les films qui ont engrangé le plus de dollars depuis 2000 présentent tous une quantité imposante de plans truqués, de plusieurs centaines chacun »(1), des plans truqués qui ont recours aux nouveaux outils numériques.

 

 

4- Quand les effets spéciaux numériques s’adossent à la garantie du réalisme pour légitimer le projet invraisemblable du film.

Edge of Tomorrow, Doug Liman, 2014.

Production Warner Bros associé à d’autres studios
Budget  : 178 000 000 dollars
Recette  : 370  541  256  $ à l’échelle mondiale.

Situation de l’extrait - Dans un futur proche des hordes d'extra-terrestres extrêmement organisés, les « mimics », envahissent l'Europe. Une coalition de dix-sept nations est formée pour combattre les mimics. En cinq ans, cette guerre mondiale fait des millions de victimes. Le commandant William Cage (Tom Cruise) est un spécialiste du service de la communication de l'armée américaine. Il est convoqué au quartier général  de la coalition, à Londres où on lui annonce qu'il couvrira le lendemain l'opération « Crépuscule » comme correspondant de guerre en immersion parmi les soldats. L'opération Crépuscule consiste à lancer un débarquement sur les côtes françaises.

A propos des effets spéciaux dans Edge of Tomorrow (2) : quatre grands studios se sont unis,  Sony Pictures Imageworks, Cinesite, MPC et Framestore. Innovation dans l’utilisation du logiciel d’animation Maya pour animer les tentacules des mimics aux mouvements aléatoires et brutaux.
Exosquelettes construits sur mesure pour les acteurs, déploiement des armes assuré en animation 3D. Pour Emily Blunt qui ne pouvait même pas bouger sous le poids de l’armure, un exosquelette plus léger a été construit et toutes les armes ont été animées en 3D. Pour réussir à imiter une course réaliste avec l’armure, les acteurs étaient tirés et suspendus par des câbles.
« Le  tournage  d'Edge of Tomorrow  a eu lieu en Angleterre, principalement dans les studios Leavesden de Warner Bros. Le complexe offre neuf plateaux de tournage, plus un immense terrain à l’air libre. Les scènes de bataille du débarquement ont été filmées sur un décor de plage de 200 mètres de long sur 150 de large. Ce gigantesque plateau à l’air libre était fermé par un fond vert de 550 mètres de long. En postproduction, le paysage a été prolongé jusqu’à l’horizon, l’océan ajouté par une simulation de fluides Houdini, et des dizaines de vaisseaux et de soldats virtuels ont été intégrés dans la scène. Là-dessus venait s’ajouter l’animation furieuse des Mimics qui balaient les troupes terrestres. Suivant les plans, les projections de soldats étaient réalisées sur le plateau à l’aide de câbles, ou bien par une animation ». [voir site de Pixel Creation]
Le souci de réalisme est sans cesse mis en avant par les experts en effets spéciaux, comme dans les jeux videos en FPS (First Personn Shooters) qui sont pour la plupart 100  % numériques (en recourant toutefois à le Performance Capture pour certains). La proximité d’un film comme Edge of Tomorrow avec le jeu video est évidente : le personnage meurt à de multiples reprises et repart au combat en s’améliorant à chaque fois. L’esthétique du film rejoint l’esthétique du jeu vidéo. Dans les deux cas, film de science fiction et jeu video, il s’agit d’accrocher le joueur ou le spectateur aux enjeux d’une action décisive,  dangereuse, sacrificielle et militaire.


Exemple avec le jeu Call of Duty : Modern Warfare 3

ATTENTION interdiction -18 ans.

Le jeu, dans sa version solo de ce 3ème opus, met ainsi le joueur dans la peau, tour à tour, d’un policier britannique, Kyle Garrick, d’un agent de la CIA, Alex, et de la cheffe des rebelles, Farah.
 

Dans une vidéo qui met en scène les différents créateurs du jeu (3) : « Notre objectif était de produire quelque chose d’aussi authentique que possible ». Des consultants ont été requis parmi les navy seals : « On essaie de reproduire chaque détail »
« Plus nous sommes précis, plus le joueur pourra s’investir dans le jeu »
extrait d’une démonstration du jeu https://youtu.be/VRO7TFyOukw?t=5
Le jeu video veut égaler la réalité, pour mieux la dépasser (4)? Toute puissance à l'oeuvre dans les jeux videos hyper réalistes, puisque le joueur a le sentiment de pouvoir agir sur le réel. L'utilisation de la motion capture pour un très grand nombre de jeux videos fait du réel le point de départ et la référence pour l'élaboration de l'esthétique du jeu.
Paradoxe d’un « réel » d’une « réalité » que le virtuel veut rejoindre à tout prix pour capter l’intérêt du spectateur qui devient ici un navy seal et qui peut agir. Le réalisme est comme le rêve à atteindre de l’univers virtuel comme la garantie de sa valeur, la légitimation de son existence et de sa puissance.

 

5- Des effets spéciaux au service d’une picturalisation accrue du film (Dominique Willoughby cité par Réjane Hamus-Vallée et Caroline Renouard) : le matériau de départ du film, les rushs tournés en prise de vue de réelle sont dès lors considérés comme une matière à « à sculpter »  « à retravailler ».

 

Blade Runner, Ridley Scott, 1982 puis en 1992 version « director’s cut » approuvée par Ridley Scott.

Film inspiré librement d’un roman de Philip K. Dick.
Production : association de plusieurs studios dont Warner Bros
Budget : 28 millions de dollars
Recettes : 27  580 111 $

Synopsis – L'histoire se déroule en novembre 2019, à Los Angeles, au climat pluvieux et où la quasi-totalité de la faune a disparu. La population est encouragée à émigrer vers les colonies situées sur d'autres planètes. Les animaux sont artificiels et il existe également des androïdes, des robots (en fait des humains fabriqués par manipulations génétiques) à l'apparence humaine aussi appelés « réplicants ». Ceux-ci sont plus ou moins considérés comme des esclaves modernes, qui sont utilisés pour les travaux pénibles ou dangereux, dans les forces armées ou comme objets de plaisir. Après une révolte sanglante et inexpliquée des réplicants dans une colonie martienne, ils sont interdits sur Terre. Des unités policières spéciales, les Blade Runners, interviennent pour faire respecter la loi pour les contrevenants androïdes. Ils ont donc l'autorisation de tuer n'importe quel réplicant en situation irrégulière. Toutefois, les androïdes les plus modernes sont difficiles à distinguer des humains. Les Blade Runners doivent alors enquêter longuement afin d'avoir la certitude qu'il s'agit bien d'un androïde avant de le mettre hors circuit. Harrison Ford incarne un de ces blade runner chargé de retrouvé 6 réplicants.

Extrait ou Deckard enquête pour retrouver une réplicante à partir d’une photo. Mise en abîme du pouvoir de l’image, du pouvoir du cinéma sur la photo.

Atmosphère très spécifique au film, ambiance noire et cyberpunk. Le plan sur la licorne, au ralenti, l’ambiance lumineuse, vaporeuse, enfumée, la musique de Vangelys, tout contribue à constituer un univers unique. Importance du travail sur les décors (maquettes) sur le lumières, les effets visuels au service d’une esthétique très graphique. Les effets spéciaux participent d’un véritable geste artistique.


Extrait du storyboard de Blade Runner par Shermann Labby
 

Conclusion 

Les effets spéciaux représentent une très large palette de possibilités pour truquer la réalité, faire advenir le surnaturel, le rêve, l’étrange ou simplement permettre de donner une existence à ce qui n’existe pas. Chaque film se positionne de manière très spécifique par rapport à la réalité en recourant à l’utilisation des effets spéciaux, entre naturalisme et fantastique, la palette des possibles est très large. En connaître l’utilisation, la nature, permet de les rapporter au geste artistique de l’auteur, voire du studio qui a produit le film. L’omniprésence désormais des effets virtuels pour retravailler l’image de prise de vue réelle, la retoucher, même légèrement, nous interroge nous autres cinéphiles européens habitués du cinéma réaliste : le cinéma ne devient-il pas un art essentiellement graphique ? Et la revendication d’authenticité et d’ultra-réalisme dans certains blockbusters proches du jeu vidéo nous interpelle, faut-il y voir une volonté de recréer la réalité pour mieux la dominer et la contrôler ?

 



1 : Les effets spéciaux au cinéma, Réjane Hamus-Vallée, Caroline Renouard, Armand Colin, 2018
2 : D’après Pixel creation article consacé aux effets spéciaux dans le film.  https://www.pixelcreation.fr/3d-video/animation-3d-vfx/edge-of-tomorrow/
3 : Source : Call of Duty®: Modern Warfare® Trailer des coulisses du jeu : https://www.youtube.com/watchv=mFmecNg0XEI&feature=youtu.be  (Video commerciale destinée à promouvoir l’ultra-réalisme du jeu. Les différents témoins sont filmés sur fond vert pour permettre l’incrustation des décors tirés de l’univers du jeu.)
4 : Article de Laurent Muller, professeur de philosophie http://www.implications-philosophiques.org/ethique-et-politique/ethique/pourquoi-le-realisme-dans-les-jeux-video/
 
auteur(s) :

anne loiseau

information(s) pédagogique(s)

niveau : Lycée tous niveaux

type pédagogique : article

public visé : enseignant

contexte d'usage :

référence aux programmes : 2de option : trucages et effets spéciaux de Méliès à la 3D ; le personnage de cinéma ; l'écriture du plan ; les métiers du cinéma ; rire, pleurer, avoir peur
1e option : cinéma et nouvelles écritures ; fiction et récits
1e spécialité : les studios ; être auteur, de l'écriture de scénario au final cut ; les genres cinématographiques, de la production à la réception ; une technique dans son histoire
terminale spécialité : réception et publics ; périodes et courants ; art et industrie ; transferts et circulations culturels

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