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passeport aide aux devoirs
L’intérêt de ce passeport dont va disposer tout enfant participant au dispositif Devoirs faits (par période de sept semaines) est d’institutionnaliser cet accompagnement, d’en permettre une évaluation.
Avant tout, le document rappelle les principes de Devoirs faits sur sa première page : d’une part l’idée que les élèves sont volontaires pour ce temps de travail au collège, d’autre part que le dispositif ne remplace pas le travail personnel à la maison, d’où l’engagement "à terminer et apprendre mes leçons/devoirs à la maison".
La présentation que l’on pourrait qualifier de souriante, avec l’illustration et les émoticônes, vise aussi à rendre la présentation de ce projet plus attrayante pour les élèves.
Concernant l’évaluation proprement dite, la première page permet de suivre l’assiduité et l’implication générale (amener ses affaires/se mettre au travail) dans le dispositif. Par ce biais, un élève qui n’aurait jamais d’affaires ou serait absent est rapidement repéré.
La seconde page va plus loin dans l’évaluation et présente l’avantage de rappeler les objectifs de fond de Devoirs faits : acquérir des outils de méthode pour travailler, apprendre à travailler seul et en coopération avec d’autres notamment. Cette évaluation, officialisée par les signatures des intervenants, enseignants et parents, doit permettre d’évaluer les progrès accomplis par l’élève lors de ce parcours, et d’évaluer l’opportunité de le poursuivre ou non sur la période suivante.
Enfin, la dernière page laisse place à une auto-évaluation de la part des élèves, sous une forme certes sommaire. On peut tout de même souligner que les premières fiches observées montraient une assiduité très forte et globalement une bonne appréhension des enjeux et une implication positive des élèves, qui eux-mêmes, notamment en sixième-cinquième, semblaient très satisfaits du dispositif (90% environ de taux de satisfaction positive).
En conclusion, même s’il faut sans doute considérer ce passeport comme le début d’une démarche et l’expression de la volonté de disposer d’un outil professionnel destiné à évoluer, celui-ci permet de prendre du recul et de progresser vers une évaluation fine et dynamique du dispositif Devoirs faits.
Avant tout, le document rappelle les principes de Devoirs faits sur sa première page : d’une part l’idée que les élèves sont volontaires pour ce temps de travail au collège, d’autre part que le dispositif ne remplace pas le travail personnel à la maison, d’où l’engagement "à terminer et apprendre mes leçons/devoirs à la maison".
La présentation que l’on pourrait qualifier de souriante, avec l’illustration et les émoticônes, vise aussi à rendre la présentation de ce projet plus attrayante pour les élèves.
Concernant l’évaluation proprement dite, la première page permet de suivre l’assiduité et l’implication générale (amener ses affaires/se mettre au travail) dans le dispositif. Par ce biais, un élève qui n’aurait jamais d’affaires ou serait absent est rapidement repéré.
La seconde page va plus loin dans l’évaluation et présente l’avantage de rappeler les objectifs de fond de Devoirs faits : acquérir des outils de méthode pour travailler, apprendre à travailler seul et en coopération avec d’autres notamment. Cette évaluation, officialisée par les signatures des intervenants, enseignants et parents, doit permettre d’évaluer les progrès accomplis par l’élève lors de ce parcours, et d’évaluer l’opportunité de le poursuivre ou non sur la période suivante.
Enfin, la dernière page laisse place à une auto-évaluation de la part des élèves, sous une forme certes sommaire. On peut tout de même souligner que les premières fiches observées montraient une assiduité très forte et globalement une bonne appréhension des enjeux et une implication positive des élèves, qui eux-mêmes, notamment en sixième-cinquième, semblaient très satisfaits du dispositif (90% environ de taux de satisfaction positive).
En conclusion, même s’il faut sans doute considérer ce passeport comme le début d’une démarche et l’expression de la volonté de disposer d’un outil professionnel destiné à évoluer, celui-ci permet de prendre du recul et de progresser vers une évaluation fine et dynamique du dispositif Devoirs faits.
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