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conditions de réussite - collège Auguste et Jean Renoir - 49
De la souplesse
La mise en place de l’évaluation par compétences demande du temps. L’appropriation par les élèves et leurs familles ne peut se faire en quelques semaines. Il faut habituer les élèves et les familles à avoir d’autres points de repère qu’une note ou qu’une moyenne.
Un travail par compétences demande aussi aux enseignants d’évoluer dans leurs pratiques et cela ne peut se faire rapidement. En amont du projet (en juillet de l’année précédente), des ateliers de travail (notamment sur les compétences transversales) ont été organisés sur le temps de travail et, dans le cadre de la mise en vie du projet d'établissement, trois demi-journées ont été banalisées pour ces équipes (temps de régulation, temps de concertation…).
Face à de tels changements, quelques enseignants ont été réticents et une formation de proximité a été réalisée la deuxième année de l’expérimentation. Dans son bilan, le formateur relève qu’un bon tiers des participants dit vouloir modifier sa pratique, mais plutôt à long terme.
Questionnaires
À la fin de chaque année scolaire, la référente a envoyé un questionnaire à chaque élève, parent et enseignant afin de recueillir et synthétiser les différentes opinions. Lors des journées de fin d’année, les synthèses ont été analysées par les équipes des classes de 6ème et des ajustements ont été réalisés.
En juin 2019, l’analyse des résultats obtenus à partir du questionnaire familles met en évidence une contradiction.
Les familles ont majoritairement apprécié (61 % de celles qui ont exprimé leur opinion) que leur enfant soit évalué par compétence, mais seules 25 % des familles souhaitent que leur enfant ne soit évalué que par compétences l’an prochain.
Un temps d’échange avec quatre des parents d’élèves élus au conseil d’administration révèlent les informations suivantes :
La référente a recensé sous forme d’un questionnaire numérique en début de deuxième année les difficultés rencontrées par les enseignants avec le nouveau logiciel. En permettant rapidement aux enseignants d’exprimer les difficultés rencontrées et en apportant une solution (interne) pour y remédier, le changement de logiciel s’est bien déroulé et a entraîné une appropriation plus aisée.
La mise en place de l’évaluation par compétences demande du temps. L’appropriation par les élèves et leurs familles ne peut se faire en quelques semaines. Il faut habituer les élèves et les familles à avoir d’autres points de repère qu’une note ou qu’une moyenne.
Un travail par compétences demande aussi aux enseignants d’évoluer dans leurs pratiques et cela ne peut se faire rapidement. En amont du projet (en juillet de l’année précédente), des ateliers de travail (notamment sur les compétences transversales) ont été organisés sur le temps de travail et, dans le cadre de la mise en vie du projet d'établissement, trois demi-journées ont été banalisées pour ces équipes (temps de régulation, temps de concertation…).
Face à de tels changements, quelques enseignants ont été réticents et une formation de proximité a été réalisée la deuxième année de l’expérimentation. Dans son bilan, le formateur relève qu’un bon tiers des participants dit vouloir modifier sa pratique, mais plutôt à long terme.
Questionnaires
À la fin de chaque année scolaire, la référente a envoyé un questionnaire à chaque élève, parent et enseignant afin de recueillir et synthétiser les différentes opinions. Lors des journées de fin d’année, les synthèses ont été analysées par les équipes des classes de 6ème et des ajustements ont été réalisés.
• Le passage en semestre n’ayant pas été concluant, l’année est de nouveau découpée en trimestre.
• Le logiciel Sacoche a été remplacé par Pronote.
• L’évaluation par compétences est maintenue pour le niveau 6e. Pour le cycle 4, chaque enseignant choisit son mode d’évaluation, par compétences ou par chiffrement.
• Une évolution des bulletins.
• Le logiciel Sacoche a été remplacé par Pronote.
• L’évaluation par compétences est maintenue pour le niveau 6e. Pour le cycle 4, chaque enseignant choisit son mode d’évaluation, par compétences ou par chiffrement.
• Une évolution des bulletins.
En juin 2019, l’analyse des résultats obtenus à partir du questionnaire familles met en évidence une contradiction.
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Les familles ont majoritairement apprécié (61 % de celles qui ont exprimé leur opinion) que leur enfant soit évalué par compétence, mais seules 25 % des familles souhaitent que leur enfant ne soit évalué que par compétences l’an prochain.
Un temps d’échange avec quatre des parents d’élèves élus au conseil d’administration révèlent les informations suivantes :
• Que les références sont plutôt culturellement chiffrées.
• Que sur le bulletin la légende manque et que les parents n’ont pas bien compris le code couleur, ni les chiffres indiqués à côté des couleurs.
• Que les précisions qui pourraient être apportées lors d’une connexion sur le logiciel Pronote ne sont pas probantes.
Consultation• Que sur le bulletin la légende manque et que les parents n’ont pas bien compris le code couleur, ni les chiffres indiqués à côté des couleurs.
• Que les précisions qui pourraient être apportées lors d’une connexion sur le logiciel Pronote ne sont pas probantes.
La référente a recensé sous forme d’un questionnaire numérique en début de deuxième année les difficultés rencontrées par les enseignants avec le nouveau logiciel. En permettant rapidement aux enseignants d’exprimer les difficultés rencontrées et en apportant une solution (interne) pour y remédier, le changement de logiciel s’est bien déroulé et a entraîné une appropriation plus aisée.
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