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les vases communicants des Kid’s folies

mis à jour le 09/04/2013


echanger dossier 6

Une municipalité, un intervenant extérieur, les enseignants d'une école maternelle, les élèves, une artiste professionnelle, le personnel non-enseignant de l'école, les parents : peut-on mettre en réseau ces différents acteurs, dans un réel projet pédagogique qui implique chacun tout en lui laissant sa liberté d'action ? Tentative de réponse à Saint-Jean-de-Monts.

mots clés : échanger, réseaux pédagogiques, maternelle, arts plastiques, projet pluridisciplinaire, histoire des arts


Effectivement cela fait beaucoup de monde ! Tous se sont réunis, peu ou prou, dans un projet qui s'est construit au fil de l'année dans une mise en réseau concrète et productive. Essayons de démêler les fils de ce réseau qui a construit au final une toile dense et diversifiée. Ce projet à grande échelle a plongé les jeunes élèves de l'école maternelle de la Plage, mais aussi toute la communauté éducative 1, dans le grand bain du surréalisme. Comment fait-on pour initier de tout jeunes enfants, qui pour certains parlent à peine, et dont aucun n'a de notions théoriques en matière d'histoire des arts, à un mouvement artistique comme le surréalisme ? En y plongeant la tête la première ! ont répondu en substance les trois enseignants et l'artiste plasticienne qu'Échanger a rencontrés.

À l'origine étaient les Kid's folies

À l'origine, il y a de cela vingt-deux années, les élus de Saint-Jean-de-Monts ont lancé un festival ludique, culturel et sportif intitulé Kid's folies 2 qui se déroule durant les vacances de printemps. Destiné aux jeunes, aussi bien estivants que locaux, il se construit chaque année sur une thématique différente liée aux arts plastiques. Le fil rouge de cette année 2012 est Miró et les surréalistes. Un animateur spécialisé en arts plastiques intervient dans les écoles de la commune pour initier des enfants, et leurs créations sont exposées pendant les vacances de printemps, dans le cadre de la grande exposition qui a lieu au palais des congrès Odysséa. Cette volonté de mise en synergie, impulsée par la collectivité locale, a trouvé cette année un nouvel essor à l'école maternelle de la Plage, dont les quelque cent trente élèves se répartissent dans cinq classes. Cette année, donc, plutôt que de répartir sur toutes les classes les interventions de l'un des deux animateurs en arts plastiques, Antoine Tiberghien, l'équipe pédagogique a choisi de les concentrer sur une seule classe, celle des GS 3 de François Soulard. Les enfants ont découvert l'univers de Miró et ont produit des œuvres "à la manière" de au cours de huit séances d'initiation de deux heures, qui se sont déroulées dans l'une des salles du palais des congrès, aménagée à cet effet. Mais les autres élèves ne sont pas restés en dehors de ce bain artistique, et chaque enseignant s'est emparé du projet comme bon lui semblait. La thématique commune s'est ainsi déclinée en autant de variations autour d'une même ligne directrice : ouvrir les élèves à l'art et les initier à l'univers surréaliste des trois peintres retenus : Miró, Dali et Magritte.

Qui chasse qui ?

Corinne Valéry, directrice et enseignante des TPS-PS 3, et Florence Martin, professeure des MS-GS3 ont ainsi décidé de partir à l'aventure du surréalisme avec l'aide d'une artiste professionnelle plasticienne, Margot Derouche. Celle-ci est une habituée des interventions auprès des jeunes publics et a accepté d'intervenir bénévolement, deux séances d'une heure par semaine d'octobre à mars, auprès des élèves montois. Pour la séance inaugurale des moyens-grands, l'équipe décide... de ne rien faire ! Le but est d'ouvrir un "espace créatif". Pendant une heure et demie, les enfants vont y découvrir peintures, terre, outils variés, feuilles, livres, musique, reproductions (en lien avec le surréalisme)... Ceux-ci commencent par approcher cet espace des yeux, puis attendent la consigne... qui ne vient pas. Manière de dire, par le silence, que l'art est un espace de liberté créatrice... D'abord décontenancés, les enfants ne savent pas quoi faire et n'osent rien faire. Puis, petit à petit, ils se laissent aller et commencent à toucher à tout.


Ils découvrent, explorent, regardent, manipulent... et parlent. Les séances suivantes sont consacrées au Paysage catalan de Miró 4.


Là aussi, ce sont les enfants qui parlent, librement. Les adultes se contentent de canaliser la parole, le seul indice donné est ce sous-titre, Le chasseur, qui permet d'affiner l'observation. Il s'agit d'abord de nommer ce que l'on voit. Et ils voient et décodent tout. C'est surprenant, notent les adultes. Avec leur manière à eux, ils repèrent les détails alors que l'adulte va saisir une vision d'ensemble. Ils imaginent des histoires, "narrativisent" la représentation avec une liberté qui n'aurait pas déplu aux surréalistes. Ils s'appuient sur les indices délivrés par le peintre, interprètent les signes et symboles, et inventent l'histoire du tableau, inscrivant ainsi l'espace de la toile dans le temps d'une chronologie explicative.

Ils sont tous Miró !

L'affaire se poursuit sur plusieurs séances de "cours théoriques" sur Miró, évidemment adaptés à l'âge du public. Différentes reproductions sont présentées aux élèves, des photographies du peintre à des âges divers, mais aussi certains de ses dessins d'enfant. Il est important qu'ils comprennent que l'œuvre est le fruit d'un homme qui a été un enfant, comme eux. D'autres activités complètent cette découverte : des puzzles qui permettent de reconstruire une œuvre, le jeu des différences (deux représentations de la même toile, l'une dans laquelle des différences avec l'original ont été introduites), exercices de mise en couleurs, de reproduction de certains signes et symboles, tout est bon pour s'approprier l'œuvre du Catalan tout en développant des compétences scolaires du socle commun. L'acuité du regard se construit par la verbalisation, l'échange entre pairs, la pratique artistique, la graphie, la spatialisation... et vice versa ; la richesse de la palette expressive se développe par une meilleure capacité à percevoir. Les enfants prennent ainsi progressivement conscience de l'unité de l'œuvre : la gamme des couleurs utilisée, les symboles présents, la "manière" de représenter... C'est également dans le dialogue en actes avec l'artiste que les enfants mesurent peu à peu ce qu'est la création. Ils doivent par exemple donner des ordres à Margot qui reproduit, sous leur dictée, une toile de Miró : quelle couleur, quelle forme, où... Puis c'est à leur tour de se mettre aux pinceaux. Un mini-concours est même organisé. Une semaine après avoir observé un tableau, les enfants le reproduisent de mémoire sur une grande feuille.


Le gagnant est celui qui est le plus proche de l'œuvre originale. Le résultat est étonnant! Les élèves s'approprient ainsi, par les moyens croisés du regard, du geste et de la parole, l'œuvre d'un artiste qui leur devient vite familier. L'exploration surréaliste se poursuit, par la même démarche, avec les œuvres de Magritte et de Dali. Et les enfants distinguent bientôt sans difficultés les travaux des uns et des autres. Ce n'est pas si mal quand on a trois ou quatre ans !

Surréaliste, mais pas antisocial !

Le projet ne se limite pas aux œuvres à deux dimensions. Chez les MS-GS, le passage à trois dimensions a été initié par la réalisation du "Lapin poisson" (au premier plan du Paysage catalan) de Miró. L'animal hybride a été construit, en carton et fil de fer, d'après sa représentation en deux dimensions. On s'attaque ensuite à plus monumental, à partir de cinq structures, chacune composée d'une branche plantée dans un seau de ciment. La première étape consiste à observer cette ossature. Chacun dit ce qu'il voit (ils personnifient toujours : cette branche est un bras, une tête...) puis propose d'ajouter un élément en lien avec cette interprétation, un chapeau sur la tête, par exemple. Les enfants le fabriquent en papier mâché, puis le fixent sur le squelette et le peignent. Une sculpture composite prend ainsi naissance. Les petits, avec le même principe, réalisent deux sculptures collectives.


Tout le projet se construit sur l'échange, le partage, la construction collective, en grand ou petits groupes. C'est tout un apprentissage qui dépasse bien largement les arts plastiques que d'accepter de remplir à plusieurs une feuille, de décider ensemble du bleu (le I, le II ou le III de Miró 5 ?), de construire collectivement une sculpture et donc d'accepter une autre proposition que la sienne... Chez les plus petits, les productions sont essentiellement collectives. Chez les plus grands, cette dimension est complétée par des activités de réalisations en petits groupes. Toutes impliquent la mise en mots, le débat, la négociation ; et aussi le renoncement au profit du projet commun. Ainsi, lorsque les petits ont travaillé sur les bleus de Miró et qu'il a fallu réaliser le fond entièrement bleu d'une grande feuille, ils ont commencé par se jeter dessus, en opérant chacun dans son coin.


Impossible d'obtenir un fond uni de cette manière ! C'est en collaborant, ensemble, en appréhendant globalement l'espace collectif dans l'objectif commun d'une unité que peut s'accomplir une tâche qui, au-delà de sa dimension picturale, met en jeu des comportements de vie sociale. Accepter un élément ajouté par un autre sur une partie réalisée par soi-même est toute une affaire...

L'artiste à l'œuvre, une leçon de vie...

Pour ce qui est des arts plastiques, les enfants s'approprient peu à peu le matériau et le geste (on caresse la feuille avec le pinceau, on ne l'écrase pas violemment). Ils appréhendent l'espace d'une manière plus globale, quand il s'agit par exemple de coller sur le fond bleu les douze petits cailloux noirs, découpés dans du papier, à la manière de Miró. Le fait de travailler avec une artiste professionnelle élargit également la perception des enfants. À plusieurs reprises, Margot peint devant eux. C'est rare, et riche, de voir un artiste en train de travailler. Une manière de montrer que l'œuvre ne naît pas d'un coup de baguette magique. La création est un travail, qui prend du temps, qui demande parfois des reprises, qui se construit lentement dans un perpétuel échange entre l'artiste et ce qu'il est en train de réaliser. Tout cela est incontestablement formateur sur tous les plans, puisque c'est aussi comme cela que l'on progresse à l'école et dans la vie. De la même manière, les enfants travaillent parfois sur une technique et sont amenés à ne pas garder l'objet confectionné. Ils construisent par exemple un pot en terre pour apprendre la technique, objet qu'ils détruiront ensuite. Qu'on soit écolier, amateur ou professionnel, il faut apprendre à choisir, à refaire, à donner à chaque chose la place qui lui convient. Toute réalisation n'est pas géniale ! Et vingt fois sur le métier remettre son ouvrage est une leçon de vie bien autant que d'art. Avec la terre, à la suite de Dali et de ses montres molles, les enfants travaillent autour du mou et du dur, qu'il faut d'abord définir en classant les objets connus en deux catégories. Puis ils transforment le mou en dur en fabriquant avec de l'argile des objets normalement mous, et vice versa. On peut ainsi représenter des objets normalement durs en leur donnant l'apparence du mou grâce à un matériau qui va durcir ! Ils utilisent également de la colle à papier peint dans laquelle ils trempent des vêtements qui durcissent au séchage. Les voies de la créativité sont inépuisables et amènent à regarder la "réalité" de manière à la fois plus précise et différente.
 

Des dessins aux mots : des cadavres pleins de vie !

On l'aura compris, le langage est au cœur de tout, y compris le langage écrit. La dimension littéraire du surréalisme n'est pas laissée de côté ; une occasion d'explorer, de renforcer et d'évaluer le langage de manière inédite tout en poursuivant l'imprégnation dans le grand bain du surréalisme. Chez les grands, tous les mots issus de l'analyse des œuvres sont listés par les enfants, puis écrits sur des papiers de couleurs différentes (jaune, bleu et vert) correspondant aux différentes catégories grammaticales. Le hasard permet de constituer des phrases en tirant un mot de chaque catégorie. Les cadavres exquis constituent le support des échanges et des apprentissages langagiers, dans un réseau artistique qui se construit au jour le jour. Une classe fait un dessin, qu'on masque en laissant dépasser un morceau, qu'on transmet ensuite à une autre classe qui va poursuivre le jeu. Et ainsi de suite. C'est difficile à réaliser, constatent les enseignants. Souvent les enfants ne partent pas de l'indice donné, mais réalisent leur propre dessin, sans lien avec le morceau qui dépasse, puis recollent artificiellement le tout. De la même manière, quand ils découvrent le résultat final, ils sont plus intéressés par le repérage de leur propre trace que par la production d'ensemble. Question de soi et de l'autre, d'autocentration et de décentration, une fois encore.

Quand les parents entrent dans le jeu

Depuis le début de ce projet, les parents ne sont pas en reste, et c'est là une volonté affirmée de l'équipe pédagogique de l'école. Cette mise en réseau qui intègre les priorités du projet d'école vise à leur faire (mieux) connaître ce mouvement artistique autant qu'à favoriser les échanges entre enfants et parents. Chez les petits, un support de parole est transmis chaque semaine aux familles. Il s'agit d'un document sur lequel les enfants ont des choses à raconter. À l'école, une mini-exposition est installée dès le début de l'année dans le hall où les parents viennent chaque jour déposer et reprendre leurs enfants. Ils peuvent regarder les documents exposés, mais ils vont bientôt pouvoir participer à leur tour ; Car le but est également, comme pour les enfants, de mettre en jeu leur imaginaire, de leur faire éprouver les joies de la créativité chère aux surréalistes, de les impliquer concrètement dans la démarche du projet. Un grand tableau en trois colonnes est un jour affiché dans le hall : une colonne avec les nombres de 1 à 31 pour les jours du mois ; une autre de 1 à 12 pour les mois de l'année ; une dernière avec les lettres de l'alphabet. À chaque nombre et lettre est associé un mot différent. Chaque adulte peut ainsi constituer une phrase à partir de sa date anniversaire et de l'initiale de son prénom. Chaque phrase est ensuite recopiée sur une grande feuille, devenant ainsi l'un des éléments d'une œuvre collective. Une toile grand format, divisée en petits carrés, est également exposée. Chaque parent peut faire un dessin dans l'une des cases, qui sera ensuite masquée, en débordant un peu sur le carré suivant. Ce cadavre exquis, comme les autres activités proposées, a un succès mitigé.

Comment tisser des liens plus solides ?

Si certains parents jouent le jeu (une maman a même réquisitionné les dates anniversaires de toute la famille, jusqu'à la grand-mère, pour créer les phrases du texte collectif), beaucoup restent sur la réserve. L'équipe enseignante est un peu déçue de ce résultat et souhaite améliorer à l'avenir cette liaison pour développer l'implication des parents. Peu de retours des parents, difficultés à tisser de réels liens... cette liaison est encore bien fragile. Comment expliquer cet état de fait ? Beaucoup de parents sont pressés, peu curieux, dérangés, mal à l'aise d'être ainsi sollicités. Ils ne veulent pas participer, car "ils ne savent pas dessiner", s'excusent-ils souvent face au tableau quadrillé. Si les enfants s'investissent pleinement, leurs parents sont parfois nettement plus réticents, et certains se disent même saturés de les entendre sans cesse parler du chapeau de Magritte, de Margot et des bleus de Miró... Pour quelques-uns, l'attention se porte uniquement sur les traces de peinture, de terre ou de colle sur les vêtements... Cette attitude va cependant en partie évoluer lors du "temps fort" du projet. Mi-mars, une semaine est plus spécialement dédiée à la grande aventure surréaliste. Le but est de rassembler et d'élargir plus encore le réseau des liens autour du projet. Toutes les classes n'ont pas encore travaillé ensemble. Certains personnels, comme les agents, n'y ont participé que de très loin. L'objectif est également de faire vivre aux enfants, sur un temps assez long, une véritable situation surréaliste. La grande enquête va commencer ! Mais nous laisserons entier le suspense ; le lecteur avide trouvera la solution de l'énigme de la disparition du chapeau de monsieur Magritte dans l'article "La traque au chapeau"...

Une mise en réseau productive

Au final, ce projet a permis de développer une connaissance concrète par la pratique autant que par l'observation, l'une s'articulant étroitement avec l'autre. Il s'agit de mettre en situation plutôt que devant une situation, souligne l'équipe de l'école maternelle la Plage. Peu de conceptualisation pour ces très jeunes enfants, mais une imprégnation qui permet, tout en réalisant des apprentissages scolaires, de mettre en relief les lignes directrices qui parcourent l'unité de l'œuvre d'un artiste comme d'un mouvement. Ainsi, les enfants distinguent sans difficulté un Miró d'un Magritte ou d'un Dali. Quand viendra le temps de la formalisation, notamment grâce à l'enseignement de l'histoire des arts 6, ces enfants ne partiront pas de rien, loin de là ! La réelle dynamique impulsée par le projet a permis une mise en synergie productive. À partir de ce point de départ, les différents acteurs ont exploré des voies qui laissent à chacun sa liberté. L'essentiel est l'ouverture culturelle, rappelle Margot Derouche, et toutes les manières d'y contribuer sont bonnes à emprunter. Il reste encore bien des aspects à améliorer, notamment en ce qui concerne la communication et la transmission de l'information entre les différents partenaires ; ce qui pourrait permettre à tous d'être mieux informés de l'ensemble des actions menées. Et il s'en réalise beaucoup, comme on a pu le constater ! Le problème se pose aussi d'accorder une place à tous ceux qui se sont investis dans ce projet. À l'heure où nous écrivons cet article (mars 2012), la présentation de toutes les productions des élèves à l'exposition au palais des congrès n'était pas encore réglée. Un temps de rencontre et de bilan semble important pour faire le point ensemble et réfléchir aux moyens de régler ces différents problèmes. Quoi qu'il en soit, on ne peut que constater la richesse de cette mise en réseau qui a permis aux jeunes et aux moins jeunes de découvrir le vaste univers de l'art surréaliste. À la différence qu'il ne s'agit plus seulement de revivre "avec exaltation la meilleure part de son enfance" 7, mais d'abord de la vivre...

1. La communauté éducative rassemble les élèves et tous ceux qui, dans l'établissement scolaire ou en relation avec lui, participent à la formation des élèves. Loi d'orientation sur l'éducation (loi n° 89-486 du 10juillet 1989), article 1.
2. Pour plus d'informations, consulter le site de la mairie de Saint-Jean-de-Monts.
3. GS : grande section - MS : moyenne section - PS : petite section - TPS : très petite section.
4. Paysage catalan (Le Chasseur), huile sur toile, 1924, Museum of Modern Art, New York.
5. Tryptique Bleu I, Bleu II, Bleu III est un ensemble de trois toiles de Joan Miró, réalisées à partir de 1961, Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou, Paris.
6. On pourra consulter à ce sujet le dossier d'Échanger consacré à L'histoire des arts, et notamment l'article L'HDA : un point de convergence pour une culture humaniste, qui présente la place et la progression de l'HDA sur l'ensemble de la scolarité, de l'école au lycée, telles que les préconisent les textes officiels.
7. André Breton, premier Manifeste du surréalisme, 1924.
 
auteur(s) :

D. Grégoire

contributeur(s) :

M. Derouche, F.  Martin, F.  Soulard, C. Valéry, École maternelle de la Plage, Saint-Jean-de-Monts [85]

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information(s) technique(s) : pdf

taille : 454 Ko ;

ressource(s) principale(s)

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